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Pourquoi la Science Chrétienne n'est pas une secte — 6

Pourquoi la Science Chrétienne n'est pas une secte — 6

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1982


Note de la Rédaction: Dès le départ, les enseignements de la Science Chrétienne ont été déformés par des critiques mal intentionnés. Plus récemment leurs tentatives ont atteint un paroxysme, témoin l'appellation de « secte non chrétienne » par laquelle certains se sont efforcés de discréditer la Science Chrétienne. Nous avons le sentiment que ce document, qui a été préparé par le « Committee on Publication », et dans lequel des points essentiels sont abordés sous forme de questions et de réponses, est de nature à intéresser nos lecteurs et tous ceux qui souhaitent se renseigner. Nous le présentons dans l'esprit des paroles de Mary Baker Eddy: « Laissé à lui-même, un mensonge ne sera pas aussi vite détruit qu'il le serait si on rétablit la vérité. » The First Church of Christ, Scientist, and Miscellany, p. 130.

Question: Les Scientistes Chrétiens utilisent un vocabulaire chrétien, mais certains disent qu'ils le font dans un esprit de tromperie afin d'amener le public à accepter des idées qui ne sont pas vraiment chrétiennes.

Réponse: Celui qui a vraiment étudié la Science Chrétienne sait que l'emploi qu'elle fait des termes chrétiens essentiels est parfaitement compréhensible et courant. C'est ainsi qu'on a montré au début de cette série d'articles que lorsque Mrs. Eddy parle de Dieu, elle n'entend pas « un principe abstrait » ou « une force impersonnelle », comme certains de ses critiques le prétendent. De même que Thomas d'Aquin au xiiie siècle et Jonathan Edwards au xviiie, elle se sert du terme « Principe » pour indiquer que Dieu est l'origine de toute loi et de tout ordre spirituels, mais on doit aussi Le connaître comme « Personne infinie » Science et Santé, p. 116. à laquelle on s'adresse en tant que tendre Berger et Rédempteur plein d'amour pour chacun. Lorsque dans ses écrits, elle donne des significations nouvelles à des termes dont le sens a été réduit au cours des siècles à des définitions doctrinales arbitraires, elle prend soin d'expliquer la différence. Par exemple, sur la doctrine de l'expiation, elle écrit: « La véritable expiation — infiniment au-delà de la conception païenne selon laquelle Dieu exige du sang humain pour rendre favorable Sa justice et attirer Sa miséricorde — a besoin d'être comprise. Le vrai sang, la Vie de l'Esprit, n'est pas encore discerné. L'amour meurtri et sanglant, montant néanmoins jusqu'au trône de gloire dans la pureté et la paix, par les degrés d'une humanité élevée, telle est la profonde signification du sang de Christ. Des afflictions sans nom, des victoires éternelles sont le sang, les courants vitaux de la vie de Christ Jésus, le prix qu'il paya pour libérer les mortels du péché et de la mort. » Non et Out, p. 34.

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