La rapidité avec laquelle nous guérissons dépend sans aucun doute de la clarté avec laquelle nous comprenons que le mal est une suggestion, non un fait.
Nous arrive-t-il parfois d'accepter que le mal est véritablement devenu un fait — un élément réel de notre vie ? Et essayons-nous alors de surmonter ce « fait » par la vérité de l'être ? Or, la vérité de l'être est que le mal n'est jamais devenu une réalité établie. Il ne peut pas réussir à devenir une partie concrète de notre identité. Le mal, sous quelque apparence qu'il se présente, n'a jamais été et ne sera jamais plus qu'une proposition, une suggestion. Une suggestion n'a pas le pouvoir de nous gouverner, car Dieu seul gouverne l'homme.
Nous devrions veiller à ne pas nous laisser entraîner à penser que les outils que nous donne la Science Chrétienne sont faits pour venir à bout d'un mal réel enraciné dans notre vie. Un état qualifié d'incurable, par exemple, ne s'attache pas à un individu; il ne se développe jamais comme une partie de son être créé et établi par Dieu — le seul être que chacun de nous puisse jamais avoir.
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