Skip to main content Skip to search Skip to header Skip to footer

Je suis profondément reconnaissant au sujet d'une guérison récente...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mai 1979


Je suis profondément reconnaissant au sujet d'une guérison récente en Science Chrétienne. Pendant de longues années j'avais supporté, sur mon dos, un ennuyeux fardeau sous la forme d'une vilaine excroissance anormale. Je la tolérais, pourtant, car je ne ressentais aucune douleur. Je faisais même plus que la tolérer. Je nourrissais l'erreur en lui donnant substance, taille et forme — en en faisant une réalité. A ces moments-là, lorsque d'autres personnes semblaient en être conscientes, leurs commentaires consternés, leurs pronostics et leurs conseils basés sur la médecine, ajoutaient à l'erreur de ma propre pensée, bien que je n'eusse jamais eu recours au diagnostic d'un médecin.

A une certaine époque, j'avais travaillé beaucoup pendant plusieurs mois comme membre du comité directeur constitué pour l'organisation d'une réunion régionale de la Science Chrétienne pour la jeunesse. Ce fut au cours de la réunion finale de ce Comité que je m'aperçus qu'un changement s'opérait dans la grosseur de mon dos. Elle commença à m'incommoder.

Ce fut ainsi que débuta la période d'épreuve. D'un côté, l'erreur, dans sa manifestation maintenant alarmante, suggérait les sinistres présages d'un tel changement. De l'autre, j'éprouvais un doux sens de joie, reconnaissant ce qui arrivait comme une grande occasion. Je savais que j'allais prendre position pour la Science Chrétienne et que Dieu seul serait le médecin de ce cas.

Après plusieurs jours de prière, sans résultat apparent, je sollicitai le traitement d'une praticienne de la Science Chrétienne. Merveilleusement réconfortante me parut sa calme assurance que Dieu, l'Esprit, étant Tout, il n'y avait pas de place où la matière pût exister ni aucun lieu où un état matériel pût apparaître et croître. De surcroît, elle expliqua qu'en tant qu'idée complète de Dieu, je ne pouvais manifester ni accroissement ni diminution. En bref, elle rendit évident le fait qu'Il ne s'agissait pas d'une chose dont il fallait se débarrasser, mais bien plutôt d'une pensée erronée qui devait être extirpée.

Je priai pour bien comprendre la totalité de l'Esprit et, par voie de conséquence, le néant de la matière. La lecture et l'étude de la Bible et des ouvrages de Mrs. Eddy, auxquelles je me livrais, en les prenant pour soutien, visaient directement la difficulté spécifique à vaincre, savoir la croyance à une tumeur. Parmi les passages qui se révélèrent merveilleusement propres à élever ma pensée se trouvait celui-ci (Science et Santé de Mrs. Eddy, p. 96): « La désagrégation des croyances matérielles peut sembler être la famine et la peste, la misère et le malheur, le péché, la maladie et la mort, qui passent par de nouvelles phases jusqu'à ce que leur néant se révèle. »

En outre, des passages sur des sujets tels que chimicalisation, tumeurs, dissolution et déplacements de montagnes, furent très utiles. Le traitement journalier que nous devons nous appliquer à nous-mêmes, comme on nous l'apprend dans le cours de Science Chrétienne, fut la base de la guérison finale. Et combien nécessaires furent mon étude et mes prières, puisque les revues et la presse locale semblaient me bombarder de leur savoir matériel au sujet de cet état.

Dans les vingt-quatre heures qui suivirent ma visite à la praticienne, je me levai de la chaise sur laquelle j'étais en train de lire, avec l'exaltante conviction que les premiers symptômes de guérison étaient en train de se manifester. Un examen le confirma et, bien que le processus de guérison s'étendît sur un mois, je surmontai bientôt la tentation de regarder, et je fis totalement confiance à Dieu, ne me livrant qu'à d'indispensables soins de propreté. En fin de compte, la grosseur qui, pendant plus de vingt ans, m'avait paru réelle et substantielle, s'évanouit dans le néant.

Je suis très reconnaissant à Dieu et au Christ guérisseur pour cette démonstration. Je suis reconnaissant pour l'aide de la praticienne et pour le cours de Science Chrétienne qui furent le fondement de cette belle conclusion.

La Science Chrétienne m'a aussi libéré de l'esclavage du tabac. La guérison de cette vieille habitude fut rapide et complète, sans aucun symptôme de réaction.

A un certain moment, lorsque des inaptitudes et des carences dans ma vie personnelle et professionnelle menacèrent de m'accabler sous la frustration et l'échec, le Christ guérisseur inversa complètement la fausse image. Le résultat fut que des années de fructueux rendement ont été ajoutées à ma carrière et que j'ai été béni par de sains et chaleureux rapports familiaux qui n'existaient pas auparavant. « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seron données par-dessus » (Matth. 6:33).

Je remercie Dieu pour les occasions qui s'offrent à moi de servir mon église filiale et la Cause là où je le peux. Ma gratitude envers Mrs. Eddy, Découvreur et Fondateur bien-aimé de la Science Chrétienne, est sans bornes. En vérité, ma coupe déborde !


Pour découvrir plus de contenu comme celui-ci, vous êtes invité à vous inscrire aux notifications hebdomadaires du Héraut. Vous recevrez des articles, des enregistrements audio et des annonces directement par WhatsApp ou par e-mail. 

S’inscrire

Plus DANS CE NUMÉRO / mai 1979

La mission du Héraut

« ... proclamer l’activité et l’accessibilité universelles de la Vérité toujours disponible... »

                                                                                                                                 Mary Baker Eddy

En savoir plus sur le Héraut et sa mission.