Cette année, plusieurs d'entre nous vont faire des plantations dans leur jardin. Quelques planches de haricots et de petits pois, peut-être quelques carottes et du maïs, et même un modeste carré de pommes de terre. D'autres planteront un pied de tomate dans un pot de fleurs sur leur fenêtre, tandis que d'autres encore ensemenceront de vastes champs de blé et d'autres céréales. Mais que nous semions ou non, nous avons tous un intérêt important dans le rendement des récoltes de cette année. Leur abondance aura de vastes implications, des consommateurs des nations industrialisées jusqu'aux enfants des régions isolées dans les pays sous-développés.
Le rendement est supposé dépendre, dans une large mesure, des conditions atmosphériques, de la lutte contre les insectes et les maladies et du traitement approprié des sols. Mais, en fait, c'est notre concept de ces facteurs qui détermine largement la réussite ou l'échec. Une compréhension accrue de Dieu et de Sa véritable création peut progressivement libérer l'humanité des effets adverses que diverses conditions semblent avoir sur les récoltes.
La Science Chrétienne révèle que la véritable identité de l'homme est spirituelle. Nous éveiller à ce fait — le chérir toujours davantage — commence à éliminer, pas à pas, les discordances et les désordres. Nous ne commençons pas par abandonner notre corps. Mais nous commençons effectivement par abandonner les concepts matériels que nous entretenons de nous-mêmes et qui sont limités et erronés. Finalement, dans la mesure où nous devenons pleinement conscients de notre identité spirituelle, substantielle, nous dépassons la matérialité elle-même et nous découvrons qu'elle n'a jamais été rien de plus qu'une pauvre contrefacon de l'être véritable.
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