« Pourrais-tu le prouver devant un tribunal ? » Voilà la question que posa un avocat à sa fillette lorsqu’elle lui rapporta des histoires qui n’étaient que de simples ouï-dire. Alors même qu’elle était encore à l’école maternelle, il lui enseigna l’importance de la vérité et de la justice. Elle apprit à bien réfléchir avant d’accepter et de répéter tout ce qu’elle entendait. Qui l’a dit ? Sur quels fondements repose cette assertion ? L’allégation peut-elle être prouvée ? Il lui devint normal de poser de telles questions lorsque des rumeurs circulaient.
Ce genre d’analyse intelligente de ce qu’on a entendu dire est aussi vieux que le premier livre de la Bible et constitue une protection appréciable. Accepter un mensonge est un outrage à la vérité et un danger pour celui qui y croit. La sagesse a toujours prescrit la vigilance et demandé de traiter avec diligence les rumeurs non confirmées.
Dans le troisième chapitre de la Genèse, on nous parle d’une conversation hypothétique entre l’Éternel Dieu et le premier homme mortel, dans laquelle Dieu appelle Adam pour lui demander d’où provient sa croyance au mal et à la nature physique.
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