Skip to main content Skip to search Skip to header Skip to footer

La question du secret professionnel

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’octobre 1979


Au cours d’une journée de travail, les praticiens de la Science Chrétienne peuvent entendre de nombreux détails personnels relatifs à la vie de leurs patients. Certains des faits relatés peuvent sembler plus étranges que la fiction. Problèmes embrouillés ayant trait au mariage et à la famille, intrigues du monde des affaires, espoirs personnels, craintes, incertitudes, remords, difficultés concernant l’église, le foyer, le bureau et les relations avec les voisins — et même confessions de culpabilité au sujet d’infractions à la loi. Et les praticiens sont tenus de garder strictement pour eux-mêmes tous ces renseignements, sans dévoiler un seul détail à qui que ce soit.

Mrs. Eddy a institué le secret professionnel comme une règle de son Église en insérant un Article dans le Manuel de L’Église Mère sous le titre de « Praticiens et patients ». Nous lisons au premier paragraphe: « Les membres de cette Église tiendront pour confidences sacrées toutes les communications privées que leurs patients leur auront faites, de même que toute information qui pourrait venir à leur connaissance en raison de leurs rapports de praticien à patient. Tout manquement à cette règle exposera le contrevenant à la discipline de l’Église. » Man., Art. VIII, Sect. 22;

Cette règle peut être considérée comme comparable au serment classique d’Hippocrate qui est encore prêté par les diplômés de bon nombre d’écoles de médecine contemporaines. Voici une partie de ce serment: « Tout ce que je vois ou entends sur la vie des hommes, au cours de ma présence auprès des malades ou même en dehors de celleci, qui ne doive pas être divulgué, je le tairai, considérant une telle chose comme une confidence sacrée. » L’éthique exige de tous les praticiens de la Science Chrétienne qu’ils ne divulguent pas les faits confidentiels qu’ils tiennent de leurs patients tandis qu’ils traitent ceux-ci, et aussi une fois que la guérison s’est produite. Il peut être nuisible pour un praticien de sous-entendre qu’il a traité un cas même une fois que le problème a été résolu de façon satisfaisante.

Connectez-vous pour accéder à cette page

Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !

Pour découvrir plus de contenu comme celui-ci, vous êtes invité à vous inscrire aux notifications hebdomadaires du Héraut. Vous recevrez des articles, des enregistrements audio et des annonces directement par WhatsApp ou par e-mail. 

S’inscrire

Plus DANS CE NUMÉRO / octobre 1979

La mission du Héraut

« ... proclamer l’activité et l’accessibilité universelles de la Vérité toujours disponible... »

                                                                                                                                 Mary Baker Eddy

En savoir plus sur le Héraut et sa mission.