Je serai toujours reconnaissante pour les circonstances qui m’ont amenée à devenir une étudiante de la Science Chrétienne. Lorsque j’étais au lycée, mon attention fut attirée par quelque annonce publicitaire sur le centenaire de la Science Chrétienne. Cet été-là, je décidai de prendre la Science Chrétienne pour sujet de mon devoir de lecture anglaise. Bien qu’à l’époque, je n’eusse pas adopté cette religion qui guérit, la lecture du livre d’étude Science et Santé de Mrs. Eddy, tout particulièrement le chapitre intitulé « La Prière », m’avait beaucoup impressionnée.
Quatre ans plus tard, alors étudiante à l’université, je renouai connaissance avec des gens remarquables, que j’avais rencontrés lorsque je travaillais à mon devoir de lecture. Mon intérêt pour la Science Chrétienne s’en trouva ravivé et, durant ces quatre dernières années environ, j’ai éprouvé la plus grande joie et la plus grande liberté que j’aie jamais connues.
A l’époque où je désirais une fois de plus en savoir davantage sur la Science, je me trouvais aux prises avec un problème physique qui avait été diagnostiqué médicalement comme de l’arthrite. Les articulations des genoux en étaient affectées et j’avais de la difficulté à marcher librement. On m’avait donné des médicaments à prendre — non pas pour me guérir, mais pour éviter une aggravation de mon cas. Je sentis que je voulais rechercher cette guérison en Science Chrétienne, ou tout au moins essayer de mettre en pratique ce que j’avais appris. Je jetai mes médicaments et je commençai à étudier.
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