Il est grand temps que je rende témoignage des guérisons et des bienfaits que j’ai reçus depuis que j’ai entrepris l’étude de la Science ChrétienneChristian Science: Prononcer ’kristienn ’saïennce.. Bien des maux ont simplement disparu par la lecture que j’ai faite de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy. De temps à autre je rendais visite à des praticiens qui me montraient comment étudier. Entre autres guérisons, il y avait celle de troubles d’estomac, que je croyais avoir hérités, des rhumes chroniques et autres maux. Les rhumes de cerveau se manifestaient toujours à intervalles réguliers et duraient un certain nombre de jours. Cette routine se répétait jusqu’à ce que je réalise que Dieu ne se tient pas à l’écart pour laisser l’erreur suivre son cours. Depuis trente-huit ans, je n’ai jamais été tentée d’employer des remèdes matériels.
Il y a cependant une expérience que je désire relater, dans l’espoir qu’elle pourra aider quelqu’un d’autre. Je me tournai vers la Science Chrétienne à cause d’un problème de famille. Mon mari était un joueur invétéré; en conséquence il rentrait à la maison à n’importe quelle heure. Je fis tout ce qui était humainement possible pour corriger cette situation, mais tout ce que je lui disais le laissait froid. Les membres de sa famille ne m’étaient d’aucun réconfort. Ils me dirent qu’au moment de me marier, je savais qu’il jouait. J’étais si bouleversée que j’écrivis même au rédacteur de la chronique sentimentale d’un journal et finalement, je me trouvai dans un état mental nerveux tel, qu’au désespoir, j’abandonnai complètement ce problème, le considérant sans espoir.
A cette époque, j’acceptai la Science Chrétienne, qui m’était présentée par une sœur, étudiante sincère de cette religion. Je devins membre de l’église aussitôt que possible et m’occupai activement du travail d’église. C’était une petite église filiale, et les occasions d’être active étaient nombreuses. Le soir, il y avait des réunions du conseil et des réunions de comités. Franchement, je ne sais pas combien de temps cela continua, mais je constatai que je devenais heureuse et satisfaite. Puis je m’éveillai au fait que mon bonheur ne dépendait pas d’une autre personne mais venait directement de Dieu. Une complète transformation de ma pensée s’était produite, et vraiment, cela m’était égal que mon mari rentre ou ne rentre pas. J’étais heureuse d’être libre pour travailler pour l’église.
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