« Il faut que la patience ait accompli parfaitement son œuvre » (Jacques 1:4). Toute enfant, j'ai fréquenté une école du dimanche de la Science Chrétienne. Plus tard je m'éloignai de cet enseignement pour rechercher les satisfactions matérielles, mais il me semblait toujours que quelque chose manquait dans ma vie. J'assistai aux services de différentes églises, mais je ne trouvai aucun réconfort dans leur forme de culte.
Quelques années après mon mariage, je fus atteinte d'arthrite. Cela devint si pénible que j'allai chez un docteur qui me fit des piqûres pour calmer la douleur. J'eus aussi des végétations et une sinusite pour lesquelles on m'opéra, mais en vain. Il semblait vraiment que j'étais un cas bien pitoyable.
Mon mari avait une maladie infectieuse des voies urinaires qui l'ennuyait depuis longtemps. Les docteurs n'avaient pas pu l'enguérir et il devait souvent s'absenter de son travail.