J'aimerais exprimer ma profonde gratitude pour tout ce que j'ai reçu grâce à la Science Chrétienne. Depuis que j'en ai accepté les enseignements, j'ai trouvé merveilleux de comprendre que le « murmure doux et subtil » est toujours près de nous pour nous aider dans les circonstances les plus difficiles de notre vie, si nous sommes prêts à l'écouter.
J'entendis parler de cette religion vers l'âge de dix-sept ans. Depuis, j'ai appris à comprendre la Bible et j'apprécie de pouvoir comprendre ce qu'est Dieu. J'ai toujours en mémoire le renouveau que j'éprouvai à lire le Psaume 91 lors de moments difficiles pendant la seconde guerre mondiale, et comme je fus protégé avec l'aide d'une praticienne de la Science Chrétienne pendant que j'accomplissais mon service militaire.
M'appuyant pour toute chose sur le Principe divin qui guérit, Dieu, plutôt que sur la médecine, selon l'usage courant, mon état général s'améliora et je compris rapidement combien la Science Chrétienne est pratique. En particulier, j'ai été guéri de douleurs à l'estomac et de troubles digestifs en étudiant et mettant en pratique ce que Mrs. Eddy nous a révélé dans un article intitulé « Digestion mentale » aux pages 229 et 230 de The First Church of Christ, Scientist, and Miscellany.
Nous lisons dans cet article: « La pathologie de la Science Chrétienne montre que la digestion de la nourriture spirituelle est à la fois douce et amère — douce dans l'expectative, mais amère par l'expérience, pendant que les sens l'assimilent, et elle n'est digérée que lorsque l'Ame met fin à la dyspepsie dont témoignent les sens. » Je ne me suis pas adressé à un seul docteur et n'ai pris aucun remède depuis que j'ai entrepris l'étude de la Science Chrétienne, et je n'ai plus jamais souffert de maux dits saisonniers.
Au cours de mon travail d'agent de commerce, j'ai souvent reçu l'aide dévouée d'une praticienne, et c'est avec une profonde gratitude que je me rappelle ses paroles: « Allez, et laissez le Christ vous précéder. » Elles m'ont aidé à renverser le point de vue sceptique avec lequel l'entendement mortel envisageait les circonstances et qui semblait négatif, et à obtenir des résultats tout à fait fructueux.
Mon professeur de Science Chrétienne m'aida une fois à vaincre un sentiment de découragement et de tristesse par une remarque qu'il fit lors d'une réunion de notre association. Il nous mit en garde contre la tristesse, qui, dit-il, était un signe certain que nous étions en train de céder, ou que nous avions déjà cédé à quelque tentation. Il nous expliqua que la tristesse est un signe que notre conscience oublie Dieu et que nous cédons à un concept erroné du moi, qui prétend se substituer à l'expression divine que nous sommes en réalité. — Milan, Italie.
