Dieu, l’Amour infini, est seulement conscient de la perfection et de l’harmonie. Le mal est contraire à Sa nature et n’a rien en commun avec Lui. La Bible dit, en parlant de Dieu (Hab. 1:13): «Tu as les yeux trop purs pour voir le mal, et tu ne peux pas regarder l’iniquité. »
Ainsi, l’homme réel, reflétant Dieu, ne peut manifester qu’un état d’impeccabilité. Il est gouverné par l’Ame, non par les sens. La réalisation du fait que l’homme est l’enfant bien-aimé de Dieu, entouré par la totalité de l’Amour divin, nous permet de comprendre qu’en réalité nous ne pouvons être attaqués par la suggestion des péchés et des erreurs du passé, et cette compréhension nous libère de la propre condamnation.
La perfection, cependant, ne s’acquiert que progressivement. Les mortels découvrent qu’ils peuvent trébucher bien des fois, avant d’être à même de faire régner, dans une certaine mesure, la perfection et l’harmonie dans leur vie. Tant qu’une faute sera commise, il y aura châtiment. La souffrance entraînée par le péché est souvent le moyen par lequel les mortels sont forcés de s’engager sur la voie du redressement. Et il serait vain de chercher à obtenir le bonheur durable autrement que par la réforme, car, comme nous l’a dit Christ Jésus « étroite est la porte et resserré le chemin qui mènent à la vie » (Matth. 7:14).
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