« Si l'on me hait, rends mon amour plus grand: Dieu seul est bon, la perte n'est qu'un gain. »
Une Scientiste Chrétienne, après avoir médité ces lignes de Mary Baker Eddy (Poems, p. 4), réalisa que l'on est spirituellement transformé quand on manifeste la sainteté et la gloire de Dieu, de l'Amour. Elle vit qu'en aimant davantage l'inimitié disparaît de la conscience. Quand notre propre pensée se purifie, nous ne croyons plus que l'impureté fasse partie de l'homme. Nous ne saurions attribuer à notre frère des caractéristiques déplaisantes ou dissemblables à Dieu puisqu'elles n'ont pas leur source en Dieu, l'unique cause ou créateur. Il n'existe donc en réalité aucune personne hostile, aucune condition erronée, et pas de circonstance défavorable.
A la page 8 de Miscellaneous Writings, Mrs. Eddy pose trois questions importantes: « Peuxtu voir un ennemi si tu n'as pas d'abord formé cet ennemi, pour contempler ensuite l'objet de ta création mentale? Qu'est-ce qui te fait du mal? La hauteur, ou la profondeur, ou quelque autre créature, te sépareront-elles de l'Amour qui est le bien, l'omniprésence — qui répand sur tous ses bénédictions infinies? » Au paragraphe suivant elle donne ce conseil: « Considérez simplement comme votre ennemi ce qui souille, dégrade et détrône l'image du Christ que vous devriez refléter. »
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