Ma reconnaissance est si profonde que je voudrais dire ce que la Science Chrétienne a fait pour moi. Il y a une trentaine d'années, des troubles visuels me tracassèrent. Je me mis à lire page après page Science et Santé, de Mrs. Eddy. Dix jours plus tard environ, je laissai tomber mes lunettes qui se brisèrent. Je poursuivis ma lecture sans me servir de lunettes, et je n'en ai plus eu besoin dès lors. Lorsque pour la première fois j'assistai au culte dans une Église du Christ, Scientiste, je tenais l'Hymnaire aussi éloigné de mes yeux que possible. Quand je réalisai que le bien n'est pas éloigné mais omniprésent, j'eus une guérison instantanée de la presbytie.
Il y a quelques années, comme mon permis de conduire devait être renouvelé, dans un esprit de prière je fis mon travail en Science. J'en arrivai à bien savoir qu'au fond Dieu est mon Entendement et que les erreurs sont chose impossible. Ensuite cette pensée se présenta: Tu as affirmé la vérité, tu sais qu'elle est vraie. Pourquoi ne pas agir en conséquence?
Entrant dans le bureau, j'y reçus un questionnaire où figurait la remarque que l'on tolérerait jusqu'à cinq fautes. J'en éprouvai d'abord du soulagement, mais bientôt je me rappelai cette parole de Mrs. Eddy (Science et Santé, p. 336): « La totalité est la mesure de l'infini, et rien de moindre ne peut exprimer Dieu. » Le questionnaire fut rempli sans qu'il y eût une seule faute. Quand on examina ma vue en couvrant l'un des yeux, puis l'autre, pour en faire l'épreuve séparément, je sus que l'homme réel exprime la perfection sous tous les rapports. Là aussi aucune erreur ne fut commise. Ma reconnaissance envers Dieu est profonde. — Los Angeles (Californie), États-Unis.
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