Il y a vingt ans que je m’intéresse à la...

Il y a vingt ans que je m’intéresse à la Science Chrétienne et quatorze ans que je fais partie de L’Église Mère. Les bienfaits moraux et physiques que cette Science m’a apportés m’incitent à envoyer ce témoignage de guérison. J’espère qu’il tombera sous les yeux de non-Scientistes et les mettra en contact avec la Science Chrétienne qui est incontestablement une source de bénédictions non seulement pour ceux qui l’étudient, mais pour l’humanité tout entière.

Il y a dix-sept ans environ, mon fils aîné, alors âgé de sept ans, rentra vers la fin de l’après-midi d’une leçon de natation prise avec ses cousins. Il se plaignait de la tête et d’un malaise général; il avait une forte fièvre. Nous étions alors en Normandie chez ma sœur qui était opposée à la Science Chrétienne. Elle me proposa de faire venir le docteur, mais n’ayant que peu de confiance dans un médecin de campagne, je refusai, décidée à mettre en pratique le peu que je savais de la Science Chrétienne. Je travaillai de mon mieux pendant deux jours et deux nuits sans résultats apparents. La fièvre persistait, les reins et les intestins ne fonctionnaient qu’à peine. La troisième nuit, je lus jusqu’à six heures du matin dans le livre de texte, Science et Santé, par Mrs. Eddy; ensuite je m’endormis pour ne me réveiller qu’à hit heures. J’eus alors la joie inexprimable de voir mon fils assis sur son lit, souriant et me réclamant son petit déjeuner. La fièvre était complètement tombée et il ne fut plus question de rien.

Dernièrement ma jeune cuisinière me renversa sur la main, par inadvertance, le contenu d’une casserole de graisse bouillante. Je déclarai la vérité et la douleur cessa immédiatement. Je pus dîner et dormir sans aucune souffrance; le lendemain ma main avait repris sa teinte normale à part deux grosses cloques, l’une au pouce, l’autre au petit doigt, qui disparurent très rapidement sans laisser de traces.