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Dans l'Apocalypse (3:20) nous trouvons...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 1949


Dans l'Apocalypse (3:20) nous trouvons cette belle promesse: « Voici, je me tiens à la porte et je frappe: si quelqu'un entend ma voix et m'ouvre la porte, j'entrerai chez lui, et je souperai avec lui, et lui avec moi. » Il y a vingt-quatre ans, le Christ guérisseur, la Vérité, qu'à notre époque Mary Baker Eddy révéla par la Science Chrétienne, vint frapper à notre porte et fut bien accueilli.

Notre garçon de six ans était à l'hôpital en attendant qu'on l'opère. Un spécialiste avait déclaré qu'il souffrait d'une double mastoïdite et qu'une opération était indispensable. Mais pendant son transport à l'hôpital, l'enfant s'était refroidi; il avait donc fallu reculer de quelques jours l'opération redoutée, que nous croyions toutefois inévitable.

A cette heure de détresse, une personne à qui nous avions affaire nous parla de la Science Chrétienne. Nous accueillîmes de grand cœur cet hôte bienvenu, le Christ, la Vérité. Ramenant notre fils à la maison, nous priâmes une praticienne de le traiter. L'amour et l'assurance dont elle fit preuve nous sont aussi clairs aujourd'hui qu'alors. Elle nous demanda: « Ne pouvez-vous pas confier votre fils à Dieu ce soir? » Nous la priâmes de venir voir ce qu'il fallait guérir, mais elle nous dit qu'elle désirait seulement voir un enfant parfait, tel que Dieu le voit. Elle déclara en outre que la seule véritable opération est celle de la loi divine, la loi du bien. Au bout de six traitements, la guérison s'accomplit et fut permanente.

Au debut, nous ne saisîmes pas toute la grandeur de ce qui était arrivé. Nous avions eu recours à Dieu de bon cœur, en toute confiance, et bien vite Il nous avait répondu par une preuve positive. Heureux de cette guérison, nous éprouvâmes de la gratitude envers celui qui nous avait recommandé la Science et envers la praticienne qui nous avait aidés avec dévouement. Dépassant le stade de la simple croyance, nous eûmes foi dans l'efficacité de la Science Chrétienne; mais les nombreuses bénédictions qui vinrent ensuite nous firent mieux comprendre les ressources illimitées du bien, sur lesquelles nous pouvons compter en tout temps.

Notre fils venait d'être guéri lorsque j'eus une leçon précieuse. Depuis des années j'avais recours aux laxatifs pour vaincre la constipation, mais je constatai avec surprise que ces médicaments ne faisaient plus d'effet. Au bout de quelques jours, je demandai de l'aide à la praticienne et lui expliquai la situation. Elle me dit: « Pourquoi recourez-vous à des remèdes matériels dans votre propre cas, après avoir reconnu, en ce qui concernait votre fils, que Dieu était le guérisseur? » Elle me fit remarquer qu'employer des médicaments est contraire à la Science Chrétienne, et que je n'agissais pas selon ces paroles de Mrs. Eddy dans Science et Santé (p. 192): « Nous ne sommes des Scientistes Chrétiens qu'autant que nous cessons de nous appuyer sur ce qui est faux et que nous saisissons ce qui est vrai; » ou encore (p. 167): « Ce n'est qu'en s'appuyant radicalement sur la Vérité qu'on peut réaliser le pouvoir scientifique qui guérit. » Je détruisis les laxatifs, et le pouvoir de la Vérité, guérissant les maux de tous genres, se prouva de nouveau. Nous vîmes combien est vraie cette affirmation, à la page 167: « Il n'est pas sage de vaciller et de s'arrêter à mi-chemin, ni de s'attendre à travailler également avec l'Esprit et la matière, avec la Vérité et l'erreur. » La leçon que nous apprîmes alors nous a souvent aidés à vaincre les obstacles qui voulaient s'opposer à nos progrès.

Ma reconnaissance est profonde, car j'ai eu de nombreuses guérisons; grâce à l'étude et à la mise en pratique de la Science Chrétienne, j'ai reçu de nombreux bienfaits; je suis heureux d'être membre de L'Église Mère et d'une église filiale, de pouvoir servir la Cause, d'avoir suivi le cours d'instruction; j'apprécie beaucoup l'aide des praticiens et l'œuvre de notre révérée Leader. —

Je tiens à confirmer le témoignage ci-dessus.

La praticienne nous avait dit de nous procurer à la Salle de lecture le livre de texte et de le lire pendant qu'elle traitait notre fils. Sur ces entrefaites, la gorge me fit très mal, et j'eus une angine. Je ne pouvais avaler que des liquides, et encore avec peine. Le matin du cinquième jour, les douleurs prirent fin et vers midi l'engorgement disparut. La manière dont la Science Chrétienne m'avait guérie me combla de joie.

Ésaïe déclare (55:9): «Car autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées. » La grosseur qui s'était formée dans ma gorge n'eut pas besoin de percer ni d'être ouverte avec une lancette. Elle disparut simplement, car Dieu a de meilleures méthodes pour traiter l'erreur. Cette preuve m'a guidée comme un phare au cours des années.

Je puis faire miennes ces paroles d'un cantique (Hymnaire, N° 64): « Je chante, j'ai trouvé la Vérité. »

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