C’est avec une grande joie et beaucoup de reconnaissance envers Dieu et envers la Science Chrétienne que j’écris ce témoignage touchant les bienfaits et les guérisons reçues par ma famille.
Il y a plusieurs années que je connais la Science Chrétienne, et ma femme, mes enfants et moi-même avons eu diverses guérisons. Pendant l’été 1932, le chômage régnait, et cette situation me réduisait presque au désespoir. Je me rendis chez un praticien de la Science Chrétienne qui m’expliqua que l’Entendement divin est la source des biens sans limites et pourvoit à tout. Le praticien travailla dans ce sens, et deux jours plus tard il me vint des clients; j’eus plus de travail que je ne l’avais espéré et pus faire honneur à mes obligations. Pendant l’hiver je fus aussi occupé pendant quelque temps à un travail qui m’apporta beaucoup de satisfaction.
A la fin de janvier, j’eus une forte grippe; je téléphonai au praticien et lui demandai de l’aide. Je continuai ma tâche, mais apparemment je ne pus libérer ma pensée, car au bout d’une semaine je dus revenir à la maison parce que j’avais de l’inflammation dans les jointures. Étant membre d’une caisse de secours pour la maladie, je fis venir le médecin. Il diagnostiqua une grande faiblesse du cœur et recommanda avec force un certain médicament. Au bout de trois semaines et demie, une pneumonie vint s’ajouter à mes maux. Pour remédier à l’inflammation pulmonaire, le docteur appliqua deux remèdes qui produisirent un effet absolument contraire à son attente; et ceci nous prouva bien qu’on ne peut servir deux maîtres. Le médecin avertit ma femme que quatre-vingt-quinze personnes sur cent ne survivent pas à des conditions aussi graves: c’était dire qu’il n’avait plus guère d’espoir.
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