Je tiens à exprimer ma reconnaissance pour toutes les bénédictions que je dois à la Science Chrétienne. Il y a vingt-trois ans que cette Science me secourt, quelles que soient les difficultés.
Nos enfants et moi-même avons eu maintes guérisons physiques. La coqueluche fut vite surmontée avec l'aide d'une praticienne à qui je téléphonai vers midi, lui demandant de traiter les trois enfants. Le soir même je constatai que deux d'entre eux étaient déjà libérés; le troisième le fut avant la fin de la semaine. Une de nos fillettes fut guérie en peu de temps d'astigmatisme. La rougeole fut vaincue en deux heures lorsque nous nous attachâmes à la vérité concernant l'homme. Mon fils fut affranchi d'une grave infection à la tête. Ce mal se développa si rapidement qu'au bout de trois jours des marques profondes parurent sur le front et le menton, ce qui effraya terriblement ses maîtres d'école et ses amis. J'essayai de faire face au problème, mais comme je n'étais pas exempte de crainte, je priai une praticienne de venir chez nous. Elle vint en effet, me dit des paroles rassurantes et traita l'enfant. Le lendemain matin la figure et la tête du petit garçon témoignaient d'un mieux sensible, et je sentis disparaître les craintes qui m'oppressaient. Moins de huit jours plus tard, il retournait à l'école, et les marques disparurent rapidement. Chacun de nous fut bien reconnaissant de cette guérison, car de nombreuses suggestions s'étaient présentées quant à la nature du mal.
Pour moi, j'ai été guérie de maux de tête dus au chagrin que me causa le décès d'une personne qui m'était chère: la guérison vint lorsque j'exprimai ma gratitude pour tous les bienfaits reçus par les enfants et moi-même. Un jour que la douleur semblait si forte que je ne pouvais lire, je me dis: Je puis du moins penser à quelque chose, et ce sera aux grâces que j'ai déjà reçues. Je repris l'une après l'autre ces nombreuses bénédictions et m'y absorbai au point que je ne m'aperçus pas du moment où la douleur cessa. Cette guérison remonte à plus de cinq ans. En 1933 une douleur au côté gauche me gêna beaucoup et m'obligea à rester couchée. Je demandai de l'aide en Science Chrétienne et fus si bien guérie que l'été suivant, au cours de mes vacances passées à l'étranger, je pus faire des courses de montagne et marcher quelquefois toute une journée.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !