C'est pour moi un privilège ainsi qu'un devoir de faire connaître les bienfaits reçus grâce à la Science Chrétienne.
En 1931, mon mari fut atteint d'une espèce d'enflure qui paraissait tout à coup là où on ne s'y attendait nullement, et disparaissait soudain. En outre, une violente attaque d'influenza l'avait laissé très déprimé. Notre connaissance de la Science Chrétienne était minime, aussi nos efforts pour affranchir mon mari de la maladie et de la dépression échouèrent-ils. L'aide d'un praticien resta également sans effet, et nous avions presque perdu courage; pourtant nous décidâmes d'avoir recours à un autre praticien. A notre grande joie, les progrès furent rapides: une semaine plus tard mon mari était redevenu lui-même et avait retrouvé sa gaieté.
Bientôt après, on conduisit à l'hôpital le bébé de ma sœur, en disant qu'il n'y avait plus d'espoir. Ceci se passait dans la soirée du dimanche. J'assistai au culte de la Science Chrétienne à Launceston, puis je priai le praticien qui avait secouru mon mari de travailler pour ma petite nièce. Le lendemain, ma sœur et son mari allèrent de bonne heure à l'hôpital, et virent l'enfant qui faisait des sauts et des bonds dans son lit. L'infirmière déclara que vers minuit un miracle était survenu. Le dimanche la petite était paralysée et n'avait plus qu'un souffle de vie, tandis qu'à présent tout allait bien. Le personnel de l'hôpital en était surpris à tel point qu'on dit à ma sœur de bien surveiller l'enfant pour voir si le mal ne revenait pas. Mais cette erreur ne se montra plus, et maintenant à l'âge de quatre ans, la fillette est heureuse et bien portante.
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