En 1917, pendant la Guerre mondiale, j'eus un genou grièvement blessé par des grenades à main. Depuis ce moment et jusqu'à ma sortie de l'hôpital militaire, on m'opéra dix à douze fois. En septembre 1918, on m'exempta du service militaire. En 1926, je subis deux nouvelles opérations, et il en fut de même en 1930. Chose curieuse, les rechutes semblaient toujours se produire pendant les mois d'août et de septembre. En 1932, à la même époque, les symptômes du mal reparurent. J'étais profondément désespéré, fort abattu; me résignant à mon sort, je m'apprêtais à subir une nouvelle opération.
J'avais déjà entendu parler de la Science Chrétienne par une connaissance. Je dois avouer qu'à cet égard mon attitude était absolument sceptique et critique; aussi ne pouvais-je me décider à chercher de l'aide dans cette direction. J'étais en route pour l'hôpital lorsque me vint la pensée d'avoir recours à la Science Chrétienne. Cette pensée l'emporta, et une fois à l'hôpital, je priai le médecin d'ajourner l'opération. Puis j'entrai en rapport avec un praticien de la Science Chrétienne. Ce que j'avais cru impossible se réalisa, car je fus complètement guéri. Dès la première visite que je fis au praticien, ma condition physique changea tellement que les docteurs jugèrent toute opération inutile.
Avec l'aide du praticien, je commençai à accepter et à comprendre la Science Chrétienne, ce qui me permit aussi de comprendre ma guérison. Mon extrême abattement disparut, je redevins heureux et libre. Tout cela me sembla d'abord si merveilleux que je ne pouvais le saisir. C'est de tout cœur que je rends grâce à Dieu pour ma guérison. Je dois beaucoup à la Science Chrétienne et à Mary Baker Eddy, qui l'a découverte et fondée. Je remercie le dévoué praticien.
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