Pendant de nombreuses années, j'eus les yeux malades. Les oculistes les plus réputés de notre ville non seulement ne m'apportèrent aucun soulagement, mais ne purent tomber d'accord quant au diagnostic, et me condamnèrent finalement à devenir totalement aveugle. Durant toute cette période, je souffris presque continuellement de douleurs atroces. Chaque nouveau docteur changeait les verres de mes lunettes.
Ma femme, qui pendant de nombreuses années avait eu recours à la médecine pour la guérison d'une sinusite, résolut d'appeler une praticienne de la Science Chrétienne. Le mal céda en un traitement. Bien que cette guérison m'eût semblé un miracle, elle ne suffit pas à me faire rechercher l'aide de la Science Chrétienne, car j'avais été élevé dans la religion juive orthodoxe par des parents très pieux. Je sentis que je préférais endurer la cécité plutôt que de m'adresser à ce que je croyais être la Science Chrétienne.
Ma femme étudiait Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, mais malgré cela plus d'un an s'écoula avant que je me décidasse à lire ce livre. Au début, je n'en comprenais pas le contenu; mais comme je poursuivais mon étude, le message guérisseur de la page première du chapitre sur la Prière attira mon attention: “Le désir c'est la prière; et nous ne pouvons rien perdre en confiant nos désirs à Dieu, afin qu'ils soient façonnés et exaltés avant de prendre forme en paroles et en actions.” Méditant cette affirmation, je résolus de la mettre à l'épreuve. Je désirais certainement avant tout être guéri de mes souffrances et de l'imminente perte de ma vue. Ce soir même, les verres de mes lunettes se brisèrent et j'étais guéri. Cette démonstration eut lieu il y a six ans.
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