Je remercie Dieu de tout mon cœur. Si souvent la vérité des paroles que j'ai entendues, lorsque pour la première fois j'eus recours à la Science Chrétienne, m'a été démontrée: “La Vérité est la force, la Vérité est le pouvoir, la Vérité vainc l'erreur.” A ce moment je ne pus saisir la profondeur de la Vérité, mais je rentrai chez moi très impressionnée, et le cœur joyeux. Cependant l'expérience m'a instruite, et depuis j'ai souvent éprouvé le pouvoir que possède la Vérité, et j'ai vu comment elle détruit l'erreur.
J'aimerais en particulier raconter deux guérisons que nous avons eues. En 1928, mon fils fut très gravement atteint d'influenza. Le docteur ne put rien faire pour lui, bien que la douleur et la fièvre fussent grandes. Au bout de dix-huit jours, mon fils me dit qu'il ne pouvait plus supporter la douleur; je lui demandai s'il désirait le traitement par la Science Chrétienne, et il y consentit. J'eus recours à une praticienne et lui demandai de l'aide, mais mon message ne put lui parvenir avant la soirée. Ce soir-là la situation était si terrible qu'on pouvait à peine la regarder en face. Pourtant je fus très calme car je savais qu'à ce moment-là le travail de la Science se faisait, et que l'erreur devait céder. Vers une heure mon fils s'endormit, et put reposer comme il ne l'avait par fait depuis des semaines. Le matin il dormait toujours. Vers midi il demanda à manger et me dit qu'il n'avait pas la moindre douleur. Trois jours après, il retourna à son travail sans ressentir aucune faiblesse.
Un jour, au printemps de 1930, j'aperçus sur ma tête deux places chauves plus grandes qu'une pièce de cinq francs. Je fus très alarmée et pensai que c'était la faute du coiffeur. Je me mis en rapport avec une praticienne, et en lui téléphonant, je fus rassurée. Par la suite je reçus une lettre d'elle qui me donna un calme complet, m'assurant que le mal ne peut se transmettre d'une idée de Dieu à une autre. Pendant des semaines je me coiffai rapidement pour ne pas voir les endroits chauves et pour ne pas être saisie par de nouvelles craintes; mais aujourd'hui j'ai une telle abondance de beaux cheveux que les gens en font parfois la remarque.
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