La Science Chrétienne entra dans ma vie il y a bien des années, lorsque j'avais grand besoin de réconfort et d'une meilleure santé. Depuis cette époque, j'ai eu maintes preuves de la sollicitude de Dieu envers Ses enfants. Avant d'avoir trouvé la Science Chrétienne, j'avais coutume, comme beaucoup de chrétiens, de prier pour que Dieu m'accordât ce que je désirais; et je me demandais souvent pourquoi mes prières n'étaient pas exaucées. La révélation de la Science Chrétienne m'a enseigné à prier sincèrement au lieu de demander “mal.”
Étant malade depuis longtemps, je cherchais la lumière et le secours; aussi, lorsque la Science Chrétienne me fut présentée, je l'acceptai sans difficulté. J'étais jeune et, malgré mon malheur et ma souffrance, je voulais vivre. Sans préjugés, et le cœur plein de reconnaissance, j'accueillis cet ange de Sa présence, et je fus guérie. L'indicible joie de ce premier contact avec la Vérité m'est restée pendant bien des années, et les paroles me manquent pour exprimer ma gratitude concernant cette nouvelle naissance. Aujourd'hui je sais que Dieu est la Vie, et qu'Il est le bien infini.
Il y a quelques années, je me fracturai un petit os du pied, quelques jours avant de partir pour une ville lointaine, où j'allais rendre visite à des amis. Je restai là dix jours pendant lesquels je souffris beaucoup, mais je pus sortir avec mes amis. Cependant, le jour après mon retour la souffrance augmenta. L'anxiété et la nervosité me causèrent une forte fièvre. C'était dimanche et je désirais aller à l'église, mais la suggestion mortelle prétendait que ce serait là un trop grand effort. J'ouvris le livre de texte de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, et lus à la page 417 les paroles suivantes: “Ne dites jamais aux malades qu'ils ont plus de courage que de force. Dites-leur plutôt que leurs forces sont mesurées à leur courage.” J'allai au culte, et pendant une heure je ne souffris pas. L'après-midi, le pied me fit de nouveau mal. Je compris alors que je devais être vaillante et revendiquer les bienfaits de la guérison. Jusqu'alors j'avais travaillé selon ma compréhension la meilleure, et des expériences précédentes m'avaient enseigné que lorsque nous faisons de notre mieux, Dieu fait le reste. J'ouvris la Bible au livre des Psaumes et y trouvai ces versets: “Quand les justes crient, l'Éternel les exauce et il les délivre de toutes leurs détresses. L'Éternel est près de ceux qui ont le cœur brisé et il sauve ceux dont l'âme est abattue. Le juste a des maux en grand nombre; mais l'Éternel le délivre de tous. Il veille sur tous ses os; aucun d'eux ne sera brisé.” A la lumière de ces merveilleuses promesses, le faux argument fut démasqué, la vérité fut radicalement affirmée, et la guérison s'effectua.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !