L'amour et la profonde gratitude que j'éprouve m'engagent à témoigner du grand pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne.
Il y a deux ans, mon premier enfant naquit avec l'hydropisie cérébrale et la boîte cranienne close. Le docteur dit qu'il était impossible à l'enfant de vivre plus de deux semaines. Il appela un autre docteur dont le verdict fût le même. On emmena l'enfant dans une clinique afin de lui perforer l'épine dorsale pour enlever un peu d'eau et alléger la congestion cérébrale, mais sans espoir de guérir l'enfant. La veille de l'opération, ma sœur arriva et, bien que je ne connusse pas du tout la Science Chrétienne, elle informa aussitôt une praticienne de la Science Chrétienne de l'état désespéré de l'enfant. Le lendemain, quand les docteurs voulurent l'opérer, ils trouvèrent les infirmières très excitées, car dans la nuit l'enfant avait été parfaitement guéri.
Au cours des trois mois qui suivirent, l'enfant perdit tout indice de mauvaise nutrition et les os du crâne se séparèrent d'une façon normale. Comme le docteur ne pouvait croire que la chose fût possible, j'allai lui montrer le bébé. Il me dit que je devais avoir changé d'enfant, car il n'avait jamais vu ou entendu parler d'un pareil cas de guérison. Quelque temps après, lors d'un concours, la photographie du bébé obtint le prix décerné à la plus belle étude d'enfant en Australie.
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