J'envoie ce témoignage pour exprimer la gratitude que j'éprouve de connaître le pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne. J'étudie cet enseignement depuis sept années, et j'ai eu de nombreuses et merveilleuses guérisons.
Le sept novembre 1924, je voulus ouvrir une grande fenêtre à guillotine, et, comme j'essayais d'en faire descendre légèrement le panneau supérieur, les cordes cédèrent, le panneau descendit brusquement et me prit la main comme dans une trappe. Je déclarai aussitôt la vérité, et compris bien vite que je le faisais pour la gloire de Dieu. Nous habitons non loin de la grand'route et dans un endroit très paisible. Je montai sur le rebord intérieur de la fenêtre et tâchai vainement de soulever le panneau. J'appelai ma mère, mais, la porte s'étant fermée, elle ne m'entendit pas. Pendant tout ce temps je savais que Dieu me viendrait en aide, et je n'avais aucune crainte. Je me rendis simplement compte de ce que Mrs. Eddy a dit dans notre livre de texte: Science et Santé avec la Clef des Écritures (voir p. 393), et je n'éprouvai aucune sensation à la main, pas plus que n'en ressent le bois; et je n'eus pas de douleur. Comme j'étais sur le rebord de la fenêtre, je vis sur la grand'route deux jeunes gens dont l'un, je le savais, étudiait la Science Chrétienne. Je l'appelai, et comme il me demanda ce qu'il pouvait faire pour moi, je le priai de sonner et de dire à ma mère que j'avais la main prise. Il sonna trois fois, mais, dut finalement frapper à la porte de derrière. Lorsqu'il eut raconté la chose à ma mère, elle dit: "Il n'y a point d'accidents en Dieu." Puis il monta vers moi, mais ne put soulever le panneau. Deux autres messieurs apportèrent une longue échelle, et du dehors ils soulevèrent la fenêtre. M'ayant demandé si ma main était fracturée, je leur répondis: "Non," et les remerciai de leur bonté. Je mis la main à mon côté, je me rendis à la salle de bain où je tournai le robinet de l'eau chaude. J'allais y mettre la main, lorsque la pensée me vint que je n'avais nul besoin de le faire; je le refermai donc, pris un linge propre dont j'entourai légèrement ma main sans la regarder pour ne pas en faire une image mentale, car il me vint à la pensée de beaux passages de la Bible et de notre livre de texte, qui chassèrent toute erreur. Je puis sincèrement dire que cet incident ne créa ni douleur ni inconvénient; je n'en retirai que des bienfaits, car il me montra que ma compréhension s'était accrue depuis le cours d'instruction que j'avais suivi.
Cet événement éveilla fortement l'attention d'autres gens dans la maison et fit une profonde impression sur quelqu'un qui souffrait beaucoup à ce moment-là et recevait des soins médicaux. J'eus un petit entretien avec lui, et le lendemain je lui montrai une partie de ma main et lui expliquai pourquoi je ne souffrais pas. Il exprima son étonnement, résolut de ne plus se servir de liniments, et sa santé fut bientôt restaurée.
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