Au moment où j’étais découragée et physiquement malade, après avoir essayé mais en vain de toutes sortes de traitements dans l’espoir de retrouver ma santé et mes forces, on attira mon attention sur le livre de texte de la Science Chrétienne: Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. Voyant le grand changement qui s’était opéré pour le mieux chez une amie qui était venue nous voir et nous avait dit qu’elle s’intéressait depuis peu à la Science Chrétienne et qu’elle en étudiait le livre de texte, je fus poussée à m’en procurer un et à examiner attentivement les enseignements de Mrs. Eddy. Cette étude fit complètement tomber les barrières des préjugés et de la critique. Je me rendis compte presque aussitôt que la Science Chrétienne était entièrement basée sur la Bible et sur les enseignements de Christ Jésus, qu’elle était le message que j’avais ardemment désiré et cherché, mais en vain, qu’elle me guérirait et répondrait à tous mes besoins. Je sentis que j’avais trouvé la “perle d’un grand prix.”
J’ai eu la preuve de la véracité de tout ceci dans les expériences que j’ai faites depuis que j’ai sérieusement entrepris l’étude de cette Science. Un sentiment de fatigue disparut insensiblement, et je repris des forces pour accomplir mon travail journalier; le souci et une faiblesse des nerfs firent place à la paix et à l’harmonie; l’amour de la Bible augmenta chez moi lorsque je compris que les promesses qu’elle contient s’adressaient à moi, et mon cœur se remplit de joie d’avoir trouvé une nouvelle religion pratique.
J’ai eu bien des guérisons de maux physiques, entre autres une maladie d’estomac qui durait depuis plusieurs années, un mal de gorge très ennuyeux qui m’empêchait de faire des exercices vocaux auxquels je tenais beaucoup, et un mal interne pour lequel, au dire du médecin, je serais obligée de subir une opération au bout d’un certain temps. Pendant douze ans j’avais porté des lunettes pour ce qu’on appelle l’astigmatisme, mais je pus les mettre de côté, après m’être rendu compte pendant trois jours que “Dieu ne fait pas acception de personnes,” et qu’Il est “le même hier, aujourd’hui, éternellement!” Chaque jour je compris plus clairement que l’homme ne dépend pas du secours matériel, mais de Dieu, du “secours [toujours présent] dans nos détresses.”
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !
