C’est avec une profonde gratitude pour la Science Chrétienne que je profite volontiers de cette occasion pour dire ce qu’elle a fait pour moi. Bien que, pendant des années, je me sois intéressée à la Science Chrétienne, je croyais qu’elle était d’origine humaine, et que c’était seulement une secte de plus ajoutée au nombre déjà très élevé de celles qui existaient déjà. Je n’étais cependant pas satisfaite des instructions religieuses données par les différentes églises que j’avais fréquentées, et elles étaient nombreuses. J’avais faim de la Vérité et j’allais de place en place, cherchant Dieu; mais je ne Le trouvai pas, jusqu’au jour où l’une de mes plus chères amies, qui m’avait souvent parlé de la Science Chrétienne, se mit à m’entretenir sérieusement et clairement du sujet qui lui était si cher et dont elle avait prouvé la vérité pour elle-même.
A ce moment, je souffrais de plusieurs soi-disant maladies chroniques, mais je sentais que je pouvais entreprendre la Science Chrétienne dans le seul but de guérir mes maux physiques. Je voulais avoir une religion qui fût divine. J’étais loin de penser que ce serait la Science Chrétienne; mais quand mon amie me fit comprendre que non seulement la Science Chrétienne guérit les malades, mais qu’elle réforme aussi les pécheurs, je fus convaincue que j’avais trouvé le Christ, la Vérité. Je restai très réservée à ce sujet, mais gardai toutes ces choses dans mon cœur et m’en réjouis beaucoup.
Sur ces entrefaites, je me mis à lire Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, la Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne. Je ne pourrais exprimer ce que les deux premiers chapitres de ce livre furent pour moi. Je vis que Science et Santé n’est pas d’origine humaine, mais que c’est une inspiration que Dieu a donnée à la conscience pure et réceptive de l’écrivain. A chaque ligne la lecture de ce livre était satisfaisante et répondait aux besoins du cœur. Elle illuminait aussi pour moi ce que j’avais appris dans la Bible, mais que je n’avais pas compris d’une manière logique et pratique. Je continuai à lire le livre très lentement, parce que je n’étais pas en bonne santé. Je souffrais d’insomnies et me mis par conséquent à faire la lecture pendant la nuit; mais au bout de deux nuits, j’étais guérie de ce mal. Je regrettai presque de me voir si rapidement guérie, car le livre était fort intéressant, mais je me rendis compte que Dieu pouvait ouvrir le chemin et m’accorder un moment opportun pour en faire la lecture.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !
