Pendant que j'étais avec nos forces militaires dans l'Afrique Orientale Allemande, je pris la fièvre paludéenne qui, plus tard, fut diagnostiquée par les médecins de l'armée comme malaria cérébrale. Je passai par trois hôpitaux militaires, et, éventuellement, fus renvoyé chez moi dans l'Afrique du Sud. A cette époque j'avais lu quelque peu Science et Santé, mais, de retour à la maison, je continuai de prendre de la médecine, suivant les ordres des docteurs. Plusieurs crises se manifestèrent, devenant fréquentes et toujours plus graves, et j'étais affaibli à tel point que ma fin paraissait proche. C'est alors qu'on me persuada de renoncer aux médicaments et de ne m'en remettre qu'au traitement de la Christian Science; on fit donc venir un praticien. Mon état, durant les premiers jours du traitement, parut s'aggraver. Après m'être débarrassé de tous mes médicaments, la crainte me saisit et la mort paraissait inévitable. Le praticien fut encore appelé, et quelques heures après son arrivée je pouvais me mettre sur mon séant; depuis lors, voici plus de deux ans, je n'ai plus jamais eu d'accès de fièvre. Pourtant ma guérison définitive ne s'effectua pas si rapidement. Je ne quittai le lit que plusieurs mois plus tard, mais alors j'étais délivré non seulement de la malaria, mais aussi du goût des cigarettes et de l'alcool. Pendant vingt ans j'avais fumé environ trente cigarettes par jour et usé de l'alcool d'une manière persistente quoique modérée. A la vérité, j'étais guéri physiquement et mentalement, et mes pieds furent fermement plantés dans le chemin que je devais suivre. Je suis reconnaissant. J'étudie la Christian Science chaque jour et me fie à elle pour tous mes besoins et ceux de ma famille.
The Strand, Colonie du Cap, Afrique du Sud.
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