La Christian Science est le plus grand don fait à l'humanité depuis que Jésus fut sur la terre, prêchant et démontrant l'Évangile guérisseur que nous essayons de vivre aujourd'hui. Voici environ sept ans qu'un ami m'invita à l'accompagner à une réunion dite de témoignages de la Christian Science. J'acceptai par pure curiosité, mais le service me plut tellement que j'y assistai régulièrement, et, plus tard, devins membre de l'église. Cet enseignement a introduit tant de bien dans ma vie, que je désire faire connaître ici quelques-unes de mes expériences, dans l'espoir d'aider autrui comme moi-même j'ai trouvé le secours dans la lecture des témoignages.
Depuis mon enfance je souffrais de maux de tête intenses qui duraient de cinq à six jours et se répétaient fréquemment. Je consultai des médecins et des “faiseurs de merveilles” de l'Europe et de l'Amérique, je fis usage de médecines et de remèdes de famille, le tout sans obtenir de résultats satisfaisants. Pendant des mois je fus soigné par tout un corps de spécialistes de l'Est des États-Unis. A cette époque j'avais des crises alarmantes qui étaient bien près de me laisser dans un état d'aliénation mentale, et ma famille avait les pires appréhensions, car ma mère était morte de ce mal. Il y eut un mieux qui, néanmoins, ne fut que de courte durée, et finalement je me résignai à ces paroles d'un professeur: “Ce qui ne peut se guérir doit être enduré.” Ce ne fut que lorsque j'entrepris l'étude conjointe de la Bible et de “Science et Santé avec la Clef des Écritures” de Mary Baker Eddy, et que j'eus le secours de praticiens bienveillants, que ma délivrance de l'asservissement à cette fausse croyance s'accomplit. Je fus également guéri de la boisson, de l'habitude de fumer, de l'usage d'un langage profane, d'un caractère emporté et de plusieurs désordres physiques.
Un jour, durant mon service dans l'armée suisse, il y a environ vingt ans, je fus frappé de congestion et relevé comme mort. On me transporta immédiatement à la maison la plus proche, où quelques-uns des infirmiers attachés à l'ambulance me soignèrent jusqu'à ce qu'il y eût un signe de vie. De là on me transporta au lazaret de campagne où, dans la nuit, je repris connaissance. Le lendemain je fus envoyé à l'hôpital des convalescents, d'où je rejoignis mon régiment, apparemment rétabli; mais il me resta un défaut de la respiration qui ne disparut que récemment, voici environ deux ans, alors que j'étais traité par un praticien pour un mal des poumons, et je fus guéri des deux désordres. Tout dernièrement une vilaine entorse au pied fut rapidement guérie grâce à l'aide d'un praticien. Je pus continuer mon travail lors même que, pendant un certain temps, l'esprit mortel, soi-disant, essaya de déclarer qu'il y avait douleur intense. Mes enfants ont aussi été secourus dans leurs épreuves, et nous avons eu, ici-même, quelques démonstrations vraiment remarquables.
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