J'ai eu bien des preuves de l'efficacité de la Christian Science au cours des années qui se sont écoulées depuis que j'acceptai ses enseignements et réglai ma vie selon ma compréhension du Principe. Ma première guérison, résultat de ma propre application de la Christian Science à ce qui paraissait être un mal tenace, eut lieu quand j'avais quatorze ans, et pour moi elle établit fermement le fait que la Christian Science guérit.
Le mode d'action de la loi dans les mathématiques, la physique et l'astronomie, m'a toujours intéressée, et ce fut fort simple et démontrable de faire un pas de plus et d'admettre la loi fondamentale de la pensée juste comme Entendement, comme Principe. Mes études à l'Université firent encore ressortir la valeur et l'utilité de la Christian Science, me révélant ce don inestimable: la capacité de raisonner du point de vue du Principe, au lieu d'écouter les dissertations des opinions humaines aussi incorrectes qu'elles paraissent plausibles. A la fin de mon terme de quatre ans, je savais que je possédais la lumière véritable, “lumière qui éclaire tout homme venant dans le monde,” et durant les années qui se sont écoulées depuis lors, ma foi en la Christian Science n'a jamais faibli et ma fidélité ne s'est jamais relâchée. Mes enfants sont nés sous son ministère efficace et bienfaisant, sans que la présence d'un médecin fût nécessaire, et sans souffrances. Aujourd'hui, ils ont presque atteint à l'état d'hommes et de femmes, sans jamais avoir eu de traitement médical d'aucune espèce, exception faite de quelques vaccinations, et ils n'ont jamais eu à souffrir comme conséquence de leur indifférence aux soi-disant lois de la santé formulées par l'esprit mortel, lois qui souvent conduisent à la maladie et à la mort.
L'adénite, le rhumatisme, des hémorroïdes, un empoisonnement du sang, ont été vaincus en leur déniant toute réalité, toute présence et tout pouvoir. Des désordres moindres n'ont apparu que pour s'évanouir à la première déclaration de la Vérité. En outre, je sais que la maladie, des mauvaises actions et des accidents ont été évités grâce à l'activité constante d'une pensée juste et comme résultat d'un désir équitable — désir que Mrs. Eddy nomme “la prière.”
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