Les salles de lecture maintenues par les églises et les associations de la Science Chrétienne sont parmi les bienfaits dont nous sommes redevables à notre Guide, Mrs. Eddy, celle qui découvrit et fonda la Science Chrétienne. À chaque service de l'église, le public est cordialement invité à visiter et à utiliser les salles de lecture et l'on peut y trouver tous les ouvrages publiés de notre Guide, ainsi que la littérature autorisée de la Science Chrétienne publiée par The Christian Science Publishing Society, littérature qu'on peut, soit acheter, si on le desire, soit lire sur place. Bien des salles de lecture ont aussi une bibliothèque où l'on peut emprunter la littérature pour quinze jours et renouveler l'emprunt pour le même laps de temps.
Aux salles de lecture un grand nombre de personnes boivent journellement de l'eau de la vie, grâce à l'étude de la Bible jointe à son interprétation spirituelle telle que la donne Mrs. Eddy dans le livre de texte de la Science Chrétienne, "Science et Santé avec la Clef des Écritures." Une visite à la salle de lecture ne peut manquer de nous révéler l'importance de cette branche du mouvement de la Science Chrétienne et de nous faire réaliser combien ses effets sont répandus partout. Des personnes appartenant à diverses classes et à diverses professions ou occupations s'y trouvent, éprouvant tous le même besoin et attirés par un même désir. Dans la tranquillité parfaite prescrite par les règles des salles de lecture, la pensée est réconfortée et fortifiée par la communion avec l'unique Dieu, l'Esprit, et par la réalisation que l'homme ne fait qu'un avec Dieu.
Aux réunions du mercredi soir pour les témoignages, l'auteur de ces lignes a souvent exprimé sa gratitude envers notre Guide de ce qu'elle a fourni ces lieux de repos, et elle a rendu grâces aussi pour les nombreux bienfaits qu'elle en a retirés, et aujourd'hui une gratitude accrue la pousse à les reconnaître dans les pages de nos périodiques. Je ressentis pour la première fois une grande reconnaissance pour cette branche du travail de l'église lorsque, à l'occasion d'une visite qu'une amie et moi nous fîmes à la salle de lecture lors de notre arrivée dans une grande ville où nous ne connaissions personne ni l'une ni l'autre, celle qui avait la charge de la salle nous fit un accueil des plus bienveillants. Elle nous donna avec empressement l'adresse d'une pension, et grâce à cela nous trouvâmes un endroit où nous eûmes tous les privilèges du foyer familial et où nous trouvâmes de réels amis.
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