
Editoriaux
Un sermon publié l'an dernier dans The Christian Ministry, relate un épisode de la carrière du grand compositeur Georg Friedrich Haendel, à une époque où il traversait de rudes épreuves. Il sortait d'une grave maladie, qui lui avait laissé les mains partiellement paralysées.
Il peut sembler presque impossible, en cette ère technologique, d'imaginer une époque où les marins ont dû diriger leurs bateaux en repérant les étoiles, parce que la boussole n'avait pas encore été inventée. Cette invention a ouvert de bien vastes horizons ! Quel que soit le temps, de jour ou de nuit, dans la tempête ou sur une mer calme, les intrépides marins pouvaient maintenant être sûrs de leur direction.
Rome effectuait un recensement à Bethléhem. La ville était surpeuplée.
Au fond de son cœur, tout Scientiste Chrétien a le vif désir d’améliorer la pratique de la guérison par la Science Chrétienne, de se rendre maître des prétentions de la maladie et du péché, grâce à la Science du Christ. Il est donc important de prendre garde à tout ce qui tendrait à retarder nos progrès dans ce sens.
On pense d’abord: « Ce qui compte, c’est la découverte. » Mais, à la réflexion, il faut y ajouter quelque chose d’une extrême importance: faute de continuité, d’un moyen qui assure que la découverte initiale (une découverte spirituelle puissante) ne sera pas perdue, cette première idée est en fait dénuée de sens.
J’ai toujours trouvé très à-propos que le premier Noël ait été entouré de si belles images de lumière. Témoin, par exemple, le récit bien connu de ces humbles bergers qui, la nuit où est ne Jésus, gardaient paisiblement leurs troupeaux dans les prés.
C’est un étrange phénomène, mais il arrive souvent que, même si nous étions remplis de bonnes intentions au départ, ce que nous voulions entourer d’honneur finisse par nous paraître sombrer dans la routine — une chose à laquelle nous sommes devenus presque trop habitués. Les chrétiens, pour la plupart, ont le désir d’honorer la Bible et, dans maints foyers, elle est respectée, voire vénérée.
A un moment ou à un autre, nous sommes tous confrontés à cette question: Comment évaluer la qualité spirituelle de notre vie et la situer par rapport à celle des autres ? La question se posa pour l’apôtre Pierre après que Christ Jésus lui eut demandé: « Pais mes brebis », en prévision des jours et des années à venir où lui, Jésus, ne serait plus en personne auprès d’eux. Pierre s’enquit au sujet de Jean: « Et celui-ci, Seigneur, que lui arrivera-t-il ? » Lui faisant comprendre que le disciple aurait son propre travail à accomplir, Jésus répliqua: «.
Dans un monde où semblent prédominer les conflits frontaliers et la lutte entre les peuples, c’est une joie de découvrir un coin du monde où la paix entre nations est la norme établie. Ainsi la plus longue frontière non militarisée du monde est celle qui sépare le Canada et les États-Unis d’Amérique.
Avez-vous déjà remarqué que, sous bien des rapports, la Bible fait preuve d’anticonformisme ? Ces paroles d’Ésaïe, par exemple, étaient en opposition avec la sagesse conventionnelle de l’époque: « Malheur à ceux qui descendent en Égypte pour avoir du secours, qui s’appuient sur des chevaux et se fient à la multitude des chars et à la force des cavaliers, mais qui ne regardent pas vers le Saint d’Israël, et ne recherchent pas l’Éternel ! » Ésaïe 31:1. On pourrait dire que Christ Jésus critiquait une attitude conventionnelle lorsqu’il s’écria tristement: « Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu ! » Matth.