Il y a quelques années, alors qu’avec mes enfants nous nous rendions au centre commercial pour acheter des vêtements, j’ai eu tout à coup mal à la gorge. Quand nous sommes arrivés, le simple fait de parler et d’avaler était très douloureux. Je n’avais qu’une idée en tête : c’était de faire les courses au plus vite afin de rentrer directement à la maison pour me coucher, et confier la préparation du dîner à mon mari.
Alors que j’étais assise à regarder mes enfants en train d’essayer des vêtements, ma gorge était de plus en plus douloureuse et ma seule envie, c’était de retrouver le merveilleux confort de mon lit ; et puis quel soulagement ce serait de renoncer à tous mes devoirs de mère et d’épouse. Lorsque les enfants ont quitté la cabine d’essayage pour choisir d’autres couleurs et des tailles différentes, j’ai examiné ma gorge dans la glace. Elle était très rouge.
Puis je me suis regardée dans les yeux et j’ai dit : « Très bien, si tu veux ce mal de gorge, tu peux l’avoir, mais sois au moins claire sur le fait que le mal est mental et non dans la gorge. »
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !