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J’ai pu penser à ma mère sans aucune tristesse ni nostalgie, et cette liberté a été permanente.

Il n’était pas nécessaire de s’attarder sur les symptômes et de se demander quelle en était la cause ou combien de temps ils dureraient.

Alors que « Tu aimeras [...] ton prochain comme toi-même » était facile à dire, il semblait au début trop difficile à mettre en pratique.

Pendant quatre heures, je me suis calée contre la porte, une tâche que je n’aurais jamais pu accomplir sans soutien divin.

Les étoiles qui étaient apparues dans le ciel avaient disparu à cause de la tempête, mais nous sentions la présence de Dieu, sachant qu’Il était là dans la pinasse, car Il est partout.

Notre Père-Mère, Dieu, notre Parent divin, met de l’ordre dans notre emploi du temps, protège nos enfants et nous procure le calme, la force et la guérison nécessaires pour faire face aux problèmes auxquels nous sommes confrontés.

A mesure que mes prières m’élevaient au-dessus de l’image matérielle de discorde, je parvenais à voir mes collègues tels que Dieu les voit : humbles, respectueux, compétents, sages, aimants.

L’amour de Dieu est plus puissant que n’importe quel problème. Je comprends à présent que ce grand fait de l’être opérait dans ma pensée alors même que j’étais toujours aux prises avec la peur.

Les gens peuvent être prompts à fournir des conseils bien intentionnés concernant les épreuves auxquelles nous sommes confrontés. Mais les conseils les plus fiables naissent en nous, du murmure doux et léger de Dieu.

La veille de l’examen final, j’ai commencé à paniquer. J’ai commencé à penser que j’allais échouer à l’examen et – pourquoi m’arrêter là ? – échouer dans mes études de droit.