Je travaillais pour un des principaux associés d’un grand cabinet d’avocats, à Washington, où les rapports hiérarchiques et les rapports de pouvoir étaient dominants. Qui vous connaissiez et qui appréciait votre travail, voilà ce qui déterminait vos possibilités d’évolution.
Cet associé était connu pour avoir un caractère épouvantable. Quiconque n’était pas d’accord avec lui ou le contrariait pouvait être licencié, ou du moins voir sa carrière mise en danger. Il m’avait confié un gros dossier en vue d’un procès, et j’y travaillais de longues heures. Etant donné que c’était moi qui faisais tout le travail et que j’avais besoin de ce type d’expérience, il me semblait juste que je sois autorisée à plaider le cas devant la Cour. Mais à mesure que la date du procès approchait, cet associé me retirait toujours plus de parties du procès. Un jour, il a pris le dernier morceau, ce qui signifiait que je ne pourrais pas participer à l’audience proprement dite où serait présentée l’affaire sur laquelle j’avais tant travaillé.
Après avoir appris cette nouvelle, je suis retournée à mon bureau et j’ai fermé la porte. L’attitude de l’associé principal était très injuste. Mais je sentais que je ne pouvais rien faire. J’ai perdu toute envie de continuer à travailler les longues heures qui étaient nécessaires pour préparer ce procès. J’étais désespérée. Je me suis tournée vers Dieu en prière, Lui demandant de m’aider.
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