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« Il est évident que le corps en tant que matière n’a pas de sensation propre, et il n’y a pas d’oubli pour l’Ame et ses facultés. » (Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 214)

Je me suis réveillée vers 2 heures du matin, me sentant soudainement malade. La première pensée qui m’est venue a été : « Comment vais-je pouvoir lire à l’église demain matin ? »

Il ne faut pas avoir peur d’aider quelqu’un qui se débat dans les difficultés. Nous sommes toujours à même d’aider nos amis de la bonne manière, et Dieu nous montrera comment le faire.

J’ai décidé de faire une pause dans mes fréquentations et j’ai travaillé à reconnaître que j’étais déjà complète et totalement aimée, ici et maintenant.

Mon attention s’est détournée de l’apparence matérielle pour se porter sur ce qui était spirituellement vrai : Dieu m’avait créée en tant que Son expression ou Son idée parfaite.

Mon premier dimanche en tant que Première Lectrice est arrivé et j’étais à mon poste, prête à écouter ce que le pasteur dirait à la congrégation, moi y compris.

Ce n’est pas le temps qui nous affecte, mais la croyance que des changements constants se produisent en nous et dans notre environnement ; qu’il existe des forces autres que Dieu qui peuvent nous influencer ou nous affecter, pour le meilleur ou pour le pire.

On pourrait dire qu’une nouvelle logique scientifique chrétienne a été amenée à éclairer le problème séculaire du bien et du mal, grâce à la découverte de Mary Baker Eddy – et cela a produit la guérison.

Lorsque nous voyons l’ennemi arriver comme un fleuve, que ce soit dans notre expérience ou dans une guerre que nous observons de loin, nous pouvons nous accrocher fermement au fait que la norme de l’Amour est présente pour l’arrêter.

Savoir que le langage d’amour universel de Dieu est compris partout, et qu’il est capable de désamorcer tout conflit ou tout malentendu, cela a été le cadeau de toute une vie.