C'était une soirée pyjama. Je n’aurais pas choisi de regarder un film d’horreur, mais mes amies, si. Lorsque nous avons éteint la lumière, confortablement installées dans nos sacs de couchage, on s’est bien amusées. Et surtout on a beaucoup ri en repensant à la peur que nous avons eue quand le chat de mon amie a traversé la pièce en courant, lors d’une scène de grand suspense.
Mais la nuit suivante, j’étais de retour chez moi, dans ma chambre, sans mes amies. A l’heure d’éteindre la lumière et de me coucher, je n’arrêtais pas de repenser aux images effrayantes du film. Je savais que tout était faux, mais j’avais toujours peur.
Mes parents étaient au bout du couloir, mais je ne voulais pas courir dans leur chambre comme je l’avais fait dans le passé. Je voulais essayer de mettre à profit les idées que j’apprenais à l’école du dimanche de la Science Chrétienne pour me débarrasser de la peur que m’inspiraient ces images.
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