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Alors que je réfléchissais à cet énoncé qui nous commande de ne pas penser à ce que nous mangeons, je savais que je ne pouvais sûrement pas y obéir tout en croyant que la nourriture ou la boisson pouvaient avoir un effet sur moi, notamment un effet négatif.

Etre ouvert à la source paisible d’idées spirituelles calme les pensées de crainte, celles qui sont confuses ou centrées sur elles-mêmes, et conduit à la guérison.

Je me suis arrêtée sur cette phrase : « L’Eternel, votre Dieu, n’est-il pas avec vous ? » (I Chroniques 22:18) Cette simple question a dissipé la peur.

A mesure que nous ouvrons notre cœur et notre pensée à ce que Dieu nous dit, nous réalisons que nous surmontons le sentiment d’isolement.

J’ai réalisé que Dieu n’était pas mon copilote, mais qu’Il est mon pilote ! C’était tout ce dont j’avais besoin !  Même si la pluie ne s’est pas arrêtée, la peur a disparu et je me suis sentie libérée.

L’Amour est devenu mon objectif principal, et le résultat a été que j’ai pu agir sans stress. Au lieu de me sentir à la merci des choses à faire, j’étais libre et sereine, quel que soit le nombre de tâches achevées.

La prière qui guérit détruit mentalement nos croyances concernant la maladie, ou n’importe quel problème que nous rencontrons, et révèle un sens plus clair du bien infini, et l’omniprésence de l’harmonie.

Parce que nous étions ancrés sur le rocher de la Vérité, sur le rivage de la Vie, nous ne pouvions être ébranlés par les chocs.

J’avais adopté ce rôle de « méchante du lycée » notoire grâce auquel je me sentais unique. Mais j’ai commencé à réaliser que me voir comme un enfant de Dieu était en réalité le moyen de faire l’expérience d’une spécificité véritable.

Mon ami a avoué qu’il était impliqué dans un trafic de jeunes femmes étrangères qui travaillaient dans des réseaux de prostitution, contre leur volonté. Après une telle histoire, comment ne pas être en colère ni avoir du ressentiment envers cet homme !