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Je sentais que la meilleure façon de sortir de cette tourmente était de renouveler mon engagement envers la religion que j’avais toujours aimée.

Ces guérisons, et bien d’autres, m’ont amenée à me consacrer à plein temps à la pratique de la guérison par la Science Chrétienne, qui est une activité pleine de vie et épanouissante.

J’ai ressenti tout l’amour de Dieu et j’ai su en moi-même que ce qui semblait être un bras blessé n’était en fait qu’un mensonge au sujet de ma véritable identité spirituelle d’enfant de Dieu.

J’ai eu une guérison qui m’a transformée, lorsque j’ai prié pour l’Eglise, afin d’éprouver un amour plus profond pour la mission que Dieu lui a attribuée et pour sa capacité à délivrer l’humanité de toutes les souffrances.

Il est possible de vivre dans le royaume de Dieu, ici et maintenant, et de sentir notre cœur s’embraser pour tout ce que l’Amour nous donne à chaque instant.

Etre praticien de la Science Chrétienne ne consiste pas à atteindre son propre zénith spirituel. Aucune personne n’est à l’origine de la guérison, même si elle est chaleureuse et possède d’autres qualités spirituelles attrayantes. C’est Dieu qui guérit.

Puis je me suis souvenu que l’on pouvait prier dans n’importe quelle situation, y compris celle-ci. J’ai arrêté de chercher et j’ai commencé à prier. J’ai pensé : « Dieu, où est-elle ? »

Je me suis remis à jouer de la trompette, que j’avais abandonnée pendant cette période, sans souffrir et sans avoir l’impression d’avoir perdu du temps. J’ai pu passer l’audition, puis jouer le récital comme prévu.

Plus qu’un simple vecteur pour le culte de la congrégation, l’église est essentielle à notre croissance spirituelle individuelle.

J’ai appris à apprécier l’enthousiasme joyeux et créatif de mon directeur et son désir de maintenir son équipe à un niveau élevé. Quel changement cela a apporté à la fois dans ma relation avec lui et dans l’état de ma peau !