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Je comprends tellement mieux maintenant que le chagrin n’est pas plus puissant que la joie et que rien ne peut me séparer – ni séparer personne d’autre – de l’amour de Dieu.

Le développement du caractère chrétien en chacun de nous établit le royaume du Christ sur la terre.

La croyance illusoire mais agressive à un épicycle du mal est oblitérée par la compréhension spirituelle du cycle infini du bien divin, qui est la création de Dieu se révélant constamment.

Cette guérison m’a beaucoup marquée parce que j’avais vraiment écouté Dieu et eu le sentiment qu’Il me parlait.

Les prétendus défauts humains sont de fausses étiquettes, pas des lois. Dieu n’a pas créé des êtres humains avec des entendements distincts, qui peuvent se tromper, et avec un mélange de traits de caractère bons et mauvais.

Le Christ que Jésus démontra est ici, maintenant même ; il nous renforce dans notre résolution spirituelle de nous en remettre à Dieu et apporte la guérison divine dans notre quotidien.

Je m’étais appuyée sur Dieu, j’avais regardé, et j’avais réellement vu Dieu et m’étais vue moi-même avec des yeux nouveaux.

Même si je ne savais pas comment les choses allaient s’arranger, j’avais confiance en la promesse que Dieu répond à tous les besoins.

L’histoire de Marie nous incite à prendre conscience de la plénitude de la vie et de son caractère sacré, à reconnaître que nous sommes aimés de Dieu, dignes d’être appelés Ses enfants et de marcher dans les pas de Jésus.

Les qualités de Dieu, y compris le courage qui est évident dans l’histoire de la nativité, nous font avancer. Et lorsque ce courage-Christ plus profond est plus largement compris et vécu, il nous guide vers une conscience spirituelle qui a des solutions pour tout problème.