
Témoignages
Comme si nous étions à l’intérieur d’une forteresse aux murs infranchissables, nous sommes tous – moi y compris - à l’abri du mensonge selon lequel l’enfant de Dieu peut être malade.
J’ai mentalement fait face au mensonge qui prétendait que je ne pouvais pas me lever.
J’ai considéré une crise cardiaque comme une fausse croyance mortelle et je l’ai rejetée comme une illusion sur laquelle j’avais une domination totale qui m’était conférée par Dieu. Cela a été la fin du problème.
J’ai été complètement libérée de l’angoisse de ces expériences en comprenant mieux, comme le dit le premier chapitre de la Bible, que l’homme – la véritable identité de chacun de nous – a été créé à l’image et à la ressemblance de Dieu.
J’ai réalisé que je décrochais parfois dans mes prières à cause de la croyance que je devais connaître et comprendre une vérité bien particulière, ou revenir de mes « mauvaises voies » afin que Dieu m’aime suffisamment pour me guérir. Mais ce n’est pas ainsi que Dieu me voit.
Quelles que soient les « pensées de Pilate » d’aujourd’hui – tout ce qui tenterait de s’opposer au pouvoir divin – il ne s’exerce sur nous qu’une seule autorité : la seule et suprême autorité de Dieu, le bien.
Mon mari et moi nous sommes attachés à la vérité selon laquelle l’identité de chaque enfant – de chaque personne – est spirituelle et gouvernée par Dieu, l’Entendement divin. La seule étiquette juste que l’on puisse avoir est celle d’ « enfant de Dieu ».
A la fin du service, je ne souffrais plus. Cette nuit-là, j’ai dormi paisiblement et je me suis réveillée le lendemain matin sans douleur et pleine de joie.
Je me suis dit que puisque Dieu est parfait, éternel et immuable, et que je fais partie de Sa création, ma perfection est également permanente et immuable.
Physiquement, je n’ai ressenti aucun changement immédiat, mais j’avais fait un choix et je savais que je n’allais pas laisser cette décision spirituelle être balayée.