Témoignages
Dans “Science et Santé avec la Clef des Écritures,” par Mary Baker Eddy (p. 275), se trouve cet énoncé: “Nulle sagesse n'est sage hormis Sa sagesse; nulle vérité n'est vraie que la Vérité divine, nul amour n'est aimable que l'Amour divin, nulle vie n'est Vie que la divine; nul bien n'existe, sauf le bien que Dieu accorde.
Je ne me croyais pas malade lorsque la Science Chrétienne me fut apportée par une affectueuse amie, mais je me rends compte à présent combien j'étais loin d'être harmonieuse, moralement et physiquement, et je suis pleine de reconnaissance pour tous les bienfaits que la Science Chrétienne a apportés dans ma vie. Toute espèce d'erreurs sont venues et viennent encore à la surface pour être détruites, et je suis de plus en plus heureuse à mesure que ma compréhension devient plus grande et que je saisis l'idée de la création spirituelle.
Lorsque la Science Chrétienne attira mon attention pour la première fois, elle éveilla en moi une forte opposition, qui dura plusieurs années. Ayant finalement reconnu que cette antipathie anormale provenait entièrement de préjugés, voulant rendre justice à la Cause à laquelle je savais avoir fait tort, j'acceptai une invitation à une conférence sur la Science Chrétienne.
Je désire donner ce témoignage comme expression de mon affectueuse reconnaissance pour les nombreux bienfaits qui me sont venus par la Science Chrétienne. Voici à peu près seize ans que je m'intéresse à la Science Chrétienne.
Le livre de texte de la Science Chrétienne, “Science et Santé avec la Clef des Écritures,” par Mary Baker Eddy, avait été dans notre home depuis plus d'un an avant que j'y prisse aucun intérêt, si ce n'est que j'étais reconnaissante pour la guérison de ma mère; car depuis mon enfance je ne l'avais jamais vue si bien portante. Cependant, le jour vint où elle fut une fois de plus appelée à donner des preuves du pouvoir guérisseur de Dieu, et elle me demanda de lui lire le livre de texte.
Je suis heureuse d'avoir l'opportunité de rendre témoignage du pouvoir guérisseur et régénérateur de la Science Chrétienne. Grâce à l'aide affectueuse d'un praticien, un grand nombre de maux physiques ont été surmontés,— myopie, astigmatisme, rougeole, côtes cassées.
La reconnaissance pour les bienfaits reçus avec l'aide de la Science Chrétienne me porte à adresser à Dieu, par la voie de nos périodiques, ces quelques paroles de louange. Voilà dix-sept ans que j'étudie la Science Chrétienne, et durant ce temps j'ai obtenu plusieurs guérisons pour moi-même, et j'ai eu maintes preuves du pouvoir de la Vérité, démontré au profit de ma famille.
Lorsque je jette un regard en arrière sur les années passées, le cœur débordant d'affection et de gratitude envers notre bien-aimée Leader et envers tous ceux qui m'ont aidé à acquérir une plus grande compréhension du Christ, j'ai le sentiment intime d'avoir passé par trois phases de gratitude,— premièrement, pour ma propre guérison; deuxièmement, pour le secours que j'ai pu donner à ceux qui étaient près de moi; enfin, pour la compréhension qui me met en état d'aider tout le genre humain. J'avais contracté la mauvaise habitude de boire.
A l'époque où je pris connaissance de la Science Chrétienne, j'estimais que les difficultés de la vie étaient trop grandes. Je paraissais avoir plus d'ennuis que tous les gens de ma connaissance.
Avant d'embrasser la Science Chrétienne, je souffrais continuellement de ce que les médecins appellent un ulcère de l'estomac; et pendant plusieurs années je reçus les soins assidus des meilleurs spécialistes. On m'assura que mon mal était incurable; mais qu'il me serait possible, aussi longtemps que je vivrais, de jouir d'un bien-être relatif, pouvru que j'obéisse strictement aux ordonnances du médecin.