Témoignages
Il y a quelques années je fus atteint à trois reprises différentes de la maladie qui sévissait alors et que l'on appelle “influenza espagnole. ” Au bout de la troisième crise, je souffrais d'une très grande faiblesse physique ainsi que d'un affaissement moral complet.
Etant donné le mauvais état de santé de notre fillette, elle fut considérée comme incapable de rentrer à l'école publique de Chicago. Les médecins disaient que quand bien même elle irait en classe, elle n'apprendrait rien.
Dans l'espoir que mon expérience pourra servir à d'autres qui cherchent le moyen sûr de sortir de ce qui, selon le sens mortel, est un état désespéré, je dirai que ma vie, ma santé, et mon bonheur sont dus à la compréhension de Dieu et de l'homme créé par Lui à Son image et à Sa ressemblance, ainsi que l'explique la Science Chrétienne. Un jour que j'étais en automobile, le chauffeur ayant brusquement tourné sa voiture, je fus lancé sur le pavé de la rue; je me heurtai la tête contre les rails d'un tramway et perdis connaissance.
Un sentiment de profonde gratitude pour ma connaissance de la Science Chrétienne me pousse à envoyer ce témoignage. En octobre, 1919, un meuble lourd à angles aigus me tomba sur la poitrine.
Il y a 11 ans, je trouvai la Science Chrétienne à l'heure la plus sombre de ma vie. Pendant quatre ans j'avais lutté contre la peine et contre cette maladie tant redoutée, la tuberculose.
C'est le cœur plein de reconnaissance que je désire rendre témoignage des abondants bienfaits que j'ai reçus par la Science Chrétienne. Ma mère m'en a parlé il y a environ cinq ans.
En octobre, 1919, tandis que je travaillais à l'atelier de réparations attaché au Chemin de fer de la Pensylvanie, mon associé me cogna accidentellement au crâne avec un traîneau pesant environ dix livres, et je fus brusquement lancé à une distance de six pieds. Je perdis connaissance, et on me releva pour me porter chez le docteur de la compagnie.
Je désire exprimer ma reconnaissance pour tous les bienfaits que j'ai reçus depuis que je m'intéresse à la Science Chrétienne. J'eus recours à la Science Chrétienne pour la première fois lorsque mes enfants eurent la coqueluche.
Il y douze ans, je commençai l'étude de la Science Chrétienne et n'y avais travaillé que depuis quelques mois, lorsque je pus me passer des lunettes que j'avais portées depuis quatre ans. Plus tard, la Science Chrétienne me guérit en trente-six heures d'une dangereuse crise d'influenza, alors que mon bébé n'avait que huit jours.
C'est avec la plus grande reconnaissance que je désire relater une expérience du pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne. Par une vie de luttes et de souffrances physiques et morales, j'avais appris à rechercher plus haut que ce monde la vérité qui sauve, mais je n'étais pas encore arrivée à trouver le secours vraiment efficace lorsque, par un accident arrivé à ma fillette, j'ai été éclairée en demandant l'aide de cette Science.