Témoignages
La Science Chrétienne pénétra dans notre foyer il y a plusieurs années au moment où, matériellement parlant, il ne restait plus aucun espoir. Il semblait que, financièrement, physiquement et moralement, notre petite famille était arrivée à la dernière extrémité.
Durant bien des années je ne connaissais ni la santé ni le bonheur. J'allai plusieurs fois en Europe, mais en vain, pour y consulter des spécialistes et y chercher du soulagement à ma souffrance physique.
Le cœur plein de la plus grande gratitude, je voudrais m'écrier comme le Psalmiste: “Mon âme, bénis l'Éternel, Et que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom! Mon âme, bénis l'Éternel, Et n'oublie aucun de ses bienfaits! C'est lui qui pardonne toutes tes iniquités, Qui guérit toutes tes infirmités. ” Dès mon enfance j'avais aspiré aux choses spirituelles, aussi fréquentai-je les services de diverses églises afin d'y trouver la vérité.
Il y a quelques années, j'étais infirme et sans espoir, et l'on me transporta du Caire à Vienne. Mon mari pensait qu'un changement de climat et les docteurs de Vienne soulageraient peut-être le mal, attendu que les médicaments, les remèdes, les toniques et les injections auxquels on avait eu recours au Caire n'avaient fait, semblait-il, qu'aggraver mon état.
C'est en 1918 que j'ai connu la Science Chrétienne. J'étais dans un tel état de dépression morale que la vie m'était complètement à charge.
C'est en reconnaissance de tous les bienfaits que j'ai reçus dans la Science Chrétienne, et avec l'ardent désir que ma récente expérience prouve son utilité à autrui, que j'envoie ce qui suit. Tandis que je lisais le rapport de l'Assemblée Annuelle de L'Église Mère, je remarquai surtout que l'on attirait l'attention des Scientistes Chrétiens sur ce que dit Mrs.
Pendant bien des années, ma famille et moi, nous avons reçu de nombreux bienfaits grâce à la Science Chrétienne. Elle n'a jamais été sans effet lorsqu'elle a été correctement et spirituellement appliquée.
Voici bientôt sept années que j'ai le privilège de connaître la Science Chrétienne, et je puis dire que depuis lors ma vie a complètement changé. Il est bien vrai que nous sommes transformés moralement et physiquement en proportion du renouvellement de notre pensée.
En l'année 1922, je fus pris d'une laryngite selon le dire du docteur. Il n'avait guère fait espérer à ma femme que je me rétablisse, attendu que j'avais soixante-dix-huit ans et que, par conséquent, il se déclarerait probablement une faiblesse du cœur.