Par gratitude pour la merveilleuse guérison qui s'est effectuée en moi,...

Par gratitude pour la merveilleuse guérison qui s'est effectuée en moi, grâce à la bonté omnipotente de Dieu et à l'intervention de la Science Chrétienne, je désire donner le témoignage suivant.

Au mois de septembre 1922, je fus prise d'un mal intestinal fort grave. J'essayai vainement de nombreux remèdes de famille. Puis j'allai consulter un médecin qui ne me fit aucun bien; au contraire, les médicaments qu'il prescrivit aggravèrent mon état de santé. Ma faiblesse était si grande qu'une phlébite se déclara aux jambes et me rendit tout à fait incapable de marcher, si bien qu'au commencement de janvier 1923, mon mari et mes enfants durent me faire conduire a l'hôpital. Je dois avouer avec gratitude qu'on m'y donna tout le secours et tout l'amour humains possibles, mais en vain. Les docteurs et tout le monde m'avaient condamnée. Puis une faiblesse cardiaque ainsi qu'une débilité générale se déclarèrent. Mais “la dernière extrémité de l'homme est l'opportunité de Dieu,” et ce fut la Science Chrétienne qui me secourut. Une chère praticienne de la Science Chrétienne vint me voir à l'hôpital et me révéla l'amour de Dieu; et ceci m'amena à une meilleure compréhension de la vie.

Ma guérison fut si prompte que personne n'y comprenait rien. Avant de connaître la Science Chrétienne, aucun d'entre nous n'avait songé à l'omnipotence de Dieu. Mais je suis reconnaissante du plus profond de mon cœur d'avoir pu rentrer à mon foyer au bout de sept mois pénibles. La faiblesse de mes jambes persistait; mais je fus aussi affectueusement aidée dans la Science Chrétienne pour ce mal, et Dieu m'en délivra. Quatre semaines plus tard je pus faire à pied le trajet d'une heure et demie pour me rendre au culte de l'église de la Science Chrétienne. Ma jambe droite était toute courbée par suite de la maladie, mais maintenant je suis également débarrassée de ce mal. Lorsque mon mari demanda au docteur ce qu'il pensait de ma santé, il lui dit: “Il s'est produit un miracle en votre femme, car, à la faculté de médecine, nous l'avions condamnée.”