En 1920, notre fille étant malade, nous demandâmes à une praticienne de la Science Chrétienne de la traiter. Un docteur avait constaté qu'elle souffrait d'une pleurésie, d'un catarrhe chronique de la poitrine, et qu'elle était sujette aux rhumatismes articulaires. Il avait ordonné qu'on mît immédiatement l'enfant au lit, et qu'on lui fît des cataplasmes de sable chaud. Cependant, sachant que l'enfant était sous la protection du Tout-Puissant, nous ne fîmes pas ce qu'il commanda.
La praticienne entreprit fort affectueusement le travail pour notre fillette alors âgée de deux ans et demi; et au bout d'une semaine elle était rétablie. Le docteur, qui venait parfois dans la maison pour d'autres affaires, demanda s'il pouvait voir l'enfant. Il fut très étonné d'apprendre que nous n'avions pas suivi ses ordres. Puis il s'en alla en disant qu'il s'était produit un grand changement chez la fillette et qu'elle était en bonne santé.
Quelques mois plus tard l'enfant fut atteinte de la rougeole. La Science Chrétienne nous ayant bénis une première fois, grâce à la bonté toutepuissante de Dieu, nous demandâmes en toute confiance de l'aide à la praticienne. De nouveau elle entreprit affectueusement le travail. Au bout du second traitement la fièvre et la toux diminuèrent et l'enfant demanda la permission de se lever. Son visage n'était pas encore net, mais nous niâmes l'erreur, sachant qu'elle était toujours sous la puissante sollicitude de Dieu et sous Sa protection. Au bout de six jours, notre fille, joyeuse et bien portante, pouvait jouer en plein air.
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