Témoignages
Au mois de juillet 1922, je fus atteinte d'une grave maladie. Tout paraissait être atteint chez moi, et le docteur me dit que si je guérissais, ce serait très long.
Je désire exprimer ma reconnaissance pour les guérisons et les bienfaits que j'ai reçus par l'intermédiaire de la Science Chrétienne. Depuis mon enfance je souffrais de rhumes de cerveau, d'un catarrhe et de la toux, qui s'aggravaient en hiver.
C'est avec un profond sentiment de gratitude que j'envoie ce témoignage. La vérité telle que l'enseigne la Science Chrétienne m'a tirée du découragement, car je pensais ne jamais me rétablir.
C'est avec un sentiment de profonde gratitude que je témoigne des nombreux bienfaits que j'ai reçus par l'intermédiaire de la Science Chrétienne. Il y a dix ans, je commençai à me familiariser avec ses enseignements et fus bientôt convaincue que j'avais trouvé la chose qu'il me fallait.
Il y a environ trois ans nous fîmes appeler le docteur pour notre enfant qui était malade; et durant deux années consécutives les maux se succédèrent, jusqu'à ce qu'enfin il lui restât une maladie de cœur et des reins sous une forme très grave. Notre inquiétude augmentait sans cesse, car l'attitude du docteur, qui avait incontestablement appliqué le summum de son art médical, n'était pas rassurante; il nous dit, à ma femme et à moi, de ne jamais n'égliger de donner les prescriptions à l'enfant.
Voici huit ans que nous jouissons des bienfaits de la Science Chrétienne, ma famille et moi; et je sens que je dois exprimer ma gratitude pour tout le bien que nous avons reçu et pour toutes les preuves de la tendre sollicitude de notre Père-Mère, Dieu. En l'année 1918, je perdis mon mari à la guerre et je me trouvai seule avec cinq enfants.
Un matin, il y a de cela quelques années, tandis que j'étais en visite chez des amis, j'entendis un remue-ménage peu habituel et j'appris que la cuisinière s'était gravement brûlée en tenant à la main une boîte d'allumettes qui prit feu lorsqu'elle alluma le fourneau à gaz. Un membre de la famille me pria de téléphoner à une praticienne de la Science Chrétienne,—ce que je fis,—et l'aide demandée fut aussitôt donnée.
Depuis l'année 1916, j'avais été affligée d'une maladie pulmonaire et j'étais sans cesse traitée par les docteurs; mais le mal empira jusqu'au moment où il n'y eut plus aucun espoir de me rétablir. Outre cette maladie j'avais une sciatique.
Je désire témoigner de l'efficacité de la puissance curative de la Vérité, manifestée par la Science Chrétienne, et je veux exprimer l'amour et la reconnaissance que j'éprouve pour les bienfaits que j'ai reçus. Pendant plusieurs années j'ai souffert d'un goitre en formation, dont j'avais essayé de me débarrasser par le traitement médical.
Je me suis intéressé à la Science Chrétienne en juillet 1922. J'ai aussitôt abandonné tous remèdes matériels et j'ai demandé l'aide d'une praticienne.