Pour les jeunes
On peut être envahi par un sentiment mêlé d’impuissance, de tristesse et de vulnérabilité, que l’on réfléchisse en profondeur aux actualités ou que l’on cherche tout simplement à se tenir au courant de ce qui se passe. A l’université, quand j’étudiais les conflits socio-économiques en Amérique latine, j’ai commencé à éprouver une sorte de désespoir.
Nous lisons dans la Bible, qu’au moment de l’arrestation de Jésus, Simon Pierre qui était là et qui avait une épée, la tira, en frappa Malchus, le serviteur du souverain sacrificateur et lui coupa l’oreille. Alors Jésus dit à Pierre : « Remets ton épée dans le fourreau.
Depuis mon plus jeune âge, j’adore avoir des amis afin d’échanger, de sortir et profiter de la vie avec eux. J’ai toujours désiré rencontrer des personnes avec lesquelles je me sentais des affinités et pouvais établir des liens durables.
Comme tous les matins, je devais me préparer pour aller au collège, mais j’avais passé une très mauvaise nuit. J’avais mal à la tête et à la gorge, et je me sentais fiévreux.
En septembre dernier, j’ai commencé une année d’études à l’étranger, à l’Université de Munich, en Allemagne. Dès le premier mois, j’ai eu de nombreuses occasions de mieux connaître Dieu et de mettre en pratique ce que j’apprenais.
Je fréquente l’école du dimanche de la Science Chrétienne depuis mon enfance. J’aime apprendre à connaître mon identité spirituelle et savoir que Dieu me protège toujours de tout danger.
En 2010, alors que je vivais à Rio de Janeiro, au Brésil, j’ai eu l’occasion de passer tout le mois de juin aux Etats-Unis. J’en ai profité pour visiter une université, dans l’Etat de l’Illinois, car je souhaitais pouvoir m’y inscrire.
Chaque jour, quand je me lève, je sens que Dieu est présent, qu’Il s’occupe de moi et qu’Il me protège. Je n’ai pas besoin d’avoir peur qu’il m’arrive des malheurs.
En mai 2013, j’ai eu l’occasion de faire un merveilleux voyage au Tibet. J’ai beaucoup prié pendant que je me préparais à ce voyage et je me suis sentie pleine d’inspiration.
C’était la saison où murissent les mangues et j’avais vraiment envie de manger ce fruit. Dans la parcelle où nous vivions, il y avait un grand manguier, et un jour, j’ai vu qu’il y avait deux mangues mûres sur l’une de ses plus hautes branches.