Pour les jeunes
Il y a trois ans, un ami m'a invité à aller à l'école du dimanche d'une église de la Science Chrétienne, dans mon quartier. Mis à part le fait que j'ai été très bien accueilli partout le monde, ce que j'ai appris au sujet de Dieu durant la classe m'a tellement intéressé que, depuis lors, je n'ai pas manqué un dimanche.
J'aime mon école. Je fréquente cet établissement depuis l'âge de trois ans, et j'ai l'intention d'y rester jusqu'au lycée.
L’été dernier, j’ai eu l’occasion de passer deux semaines et demie en Turquie avec ma famille. Nous avons visité les rues animées d’Istanbul, nous sommes allés voir les ruines antiques d’Éphèse et avons vogué sur la Méditerranée pendant neuf jours.
Juste avant la rentrée des classes, à l'automne dernier, mon œil a commencé à me faire mal. Il avait l'air normal de l'extérieur, mais dedans, il était très douloureux.
Je m’appelle Falla et j’ai 14 ans. J’ai un frère et trois sœurs.
La pure confiance en Dieu des jeunes La joie spontanée, l’écoute des directives divines et l’attente de voir le bien se dérouler que les jeunes expriment si facilement dans leur vie quotidienne sont des prières puissantes. Elles nous permettent de voir que Dieu, qui est toute Vie, se manifeste dans tous les aspects de notre existence, comme cela est le cas dans les deux récits suivants, que des jeunes ont envoyés au Héraut.
Je m'apple Ange et j'ai 8 ans. Un jour j'étais avec une amie et nous marchions dans la rue.
L'été passé, je suis allée faire un stage de musique de chambre à Nelson, dans l'état du New Hampshire, aux États-Unis, pour jouer du violon alto dans un quatour et un quintette. Je m'étais beaucoup exercée avant mon départ, en travaillant les pièces que nous allions jouer, mais quand je suis arrivée au stage, je me suis sentie incapable de jouer avec les autres musiciens.
J'ai 16 ans maintenant. Quand j'avais 11 ans, je dois avouer que les choses étaient difficiles pour moi.
L'orphelinat de Créoréa, à Boma, ville de la République démocratique du Congo, accueille toute sorte d'enfants de zéro à vingt ans, orphelins de guerre, victimes du sida ou de divers handicaps, ainsi que les enfants qui ont été abandonnés par leur famille après avoir été accusés d'être sorciers. En effet, dans cette région, lorsque les enfants ont un comportement qui ne peut être expliqué par leur entourage ou lorsqu'il se passe quelque chose d'inhabituel dans leur vie, ils sont souvent appelés « sorciers », Ils sont alors chassés, doivent vivre dans la rue et sont craints de tous.