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Pour les jeunes

Sur la bonne piste

Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 5 juillet 2017

Publié à l’origine en anglais dans le Christian Science Sentinel du 21 mai 2007


Pendant un cours d’éducation physique, un après-midi, Sophie, ma meilleure amie, m’a dit qu’elle avait très mal à la tête. C’était il y a un an, alors que nous étions en train de courir sur la piste d’athlétisme. Elle savait que j’étais scientiste chrétienne et que je priais pour résoudre mes problèmes. Je lui avais déjà parlé des guérisons que j’avais eues quand j’étais plus jeune.

Comme Sophie n’avait aucun médicament sur elle, elle m’a demandé, en plaisantant à moitié, de prier pour elle. J’ai accepté et je me suis mise à prier en silence. Mais ça l’intéressait finalement de savoir ce que je pensais, alors elle m’a demandé de prier à voix haute.

Je m’étais tout de suite souvenue de quelques idées que j’avais apprises à l’école du dimanche de la Science Chrétienne. Dans ma classe, nous parlions souvent du fait que nous sommes toujours en présence d’un Dieu entièrement bon, qui prend soin de nous et préserve notre sécurité et notre santé. Mary Baker Eddy écrit dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures : « Parce que la Vérité est omnipotente en bonté, l’erreur, le contraire de la Vérité, n’a aucune puissance. » (p. 367) La Vérité est un autre nom pour désigner Dieu. J’ai dit à Sophie que la douleur qu’elle ressentait était une « erreur », un mensonge au sujet de sa véritable identité, en tant que reflet de Dieu. Elle n’avait pas à accepter la douleur, parce qu’elle ne venait pas de Dieu.

Juste avant de finir la course, Sophie a ralenti et m’a annoncé avec joie qu’elle se sentait parfaitement bien. Je me suis rendu compte que c’était la première fois que je priais pour une amie qui m’avait demandé de l’aide.

Je me suis rendu compte que c’était la première fois que je priais pour une amie qui m’avait demandé de l’aide.

Un autre jour, pendant le même cours d’éducation physique et sportive, je suis tombée en sautant par-dessus une haie, et j’ai atterri sur le genou. J’ai quitté la piste en boitant et je me suis assise pour me reposer. Quand j’ai appuyé sur mon genou, cela m’a fait très mal. J’ai vu qu’il était enflé. Ce n’était pas beau à voir !

Mon professeur m’a dit d’aller voir l’infirmière de l’école. Comme j’avais du mal à me relever et à marcher, Sophie m’a soutenue jusqu’à l’infirmerie. Elle m’a rappelé ce que je lui avais dit l’autre fois, et elle ne cessait de répéter : « C’est juste une erreur. » Tout d’abord, cela ne m’a guère aidée, car je ne pensais qu’à une chose : arriver à l’infirmerie et m’asseoir. En fait, j’étais un peu énervée ! Je n’arrivais pas à voir la situation de façon spirituelle ! Je voulais juste me sentir bien.

Nous sommes enfin arrivées à l’infirmerie, Sophie est partie, et j’ai appelé maman pour qu’elle vienne me chercher en voiture. Elle m’a dit que Dieu était présent avec moi à l’infirmerie, et qu’elle venait tout de suite me chercher ; elle serait là dans une demi-heure.

En raccrochant, je savais que je pourrais profiter d’un moment tranquille pour rassembler mes pensées. Je me sentais si honteuse en pensant que Sophie avait eu cette belle guérison et que, moi-même, je ne pouvais plus faire de sport, cet après-midi-là, à cause de la douleur à la jambe. Tandis que je m’efforçais d’écouter les pensées de Dieu, j’ai compris que, lorsque Sophie m’avait répété ces mots – « c’est juste une erreur » – c’était en réalité Dieu qui me parlait directement. Je n’y avais pas prêté attention. Si j’avais pu aider Sophie grâce à cette même idée, cela devait forcément être vrai pour moi aussi. J’ai été heureuse de l’avoir pour amie et de constater qu’elle se souciait de mon bien-être. J’ai cessé de fixer mon genou pour penser à Dieu qui prenait tendrement soin de moi.

Quand ma mère est arrivée, j’ai eu peur pendant une fraction de seconde de ne pas réussir à me mettre debout. Mais je me suis raccrochée à mes prières, et j’ai pu me lever avec assurance, sans problème ni douleur. Ma jambe n’était plus du tout enflée.

Lorsque j’ai revu Sophie le lendemain à l’école, elle n’était pas du tout surprise de me voir marcher sans le moindre signe de douleur. Je suis aujourd’hui dans une autre école, mais nous sommes toujours amies. Je suis très heureuse d’avoir pu parler de ces idées spirituelles avec elle, et je la remercie pour l’aide qu’elle m’a apportée en retour !

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