J’éprouve une grande reconnaissance envers Dieu pour la Science Chrétienne et pour toutes les ressources mises à la disposition de ceux qui l’étudient, et notamment l’enseignement du Cours Primaire. J’ai été heureuse de suivre ce cours, car il m’a apporté de la confiance, et l’assurance de pouvoir m’appuyer sur Dieu à chaque instant de mon existence.
Un jour, j’étais à la maison avec mes petits-enfants, et l’un d’eux avait installé une barre de traction en acier dans l’embrasure de la porte de la chambre. Je n’ai pas vu la barre et j’ai fermé la porte. La barre s’est desserrée et elle m’est tombée sur la tête. J’ai d’abord ressenti de la douleur et, quand j’ai vu le sang couler, cela m’a inquiétée. Mes petits-enfants étaient eux aussi perturbés par cet incident.
Dans ce moment de trouble, j’ai été immédiatement apaisée par des idées contenues dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy qui sont venues à moi. Celle-ci par exemple : « Sous la Providence divine, il ne peut y avoir d’accidents, puisque dans la perfection il n’y a pas de place pour l’imperfection. » (p. 424) J’ai compris qu’il n’y a pas d’accidents dans le royaume de Dieu. Tout est sous le gouvernement de l’unique Entendement, Dieu, car Il est Tout-en-tout. Peu après avoir ressenti le pouvoir de ces vérités, j’ai vu que le sang avait cessé de couler et que la douleur s’était beaucoup atténuée.
Convaincue de la vérité des idées spirituelles qui me venaient à l’esprit, j’ai affirmé avec fermeté que Dieu est Esprit et qu’Il est Tout, la seule substance de mon être, qui est entièrement spirituel en tant qu’expression de Dieu. La matière n’a ni intelligence ni sensation, et n’a aucun pouvoir sur mon identité en tant que fille de Dieu.
Je me suis tranquillement nettoyée puis j’ai repris mes activités. Le lendemain, c’était encore un peu enflé, mais j’ai continué d’être ferme dans mes prières, reconnaissant la vérité que Dieu est l’Esprit parfait et infini, et que, en tant que Sa création, je suis spirituelle et parfaite. Au bout de trois jours, il n’y avait plus aucune trace de blessure, et il n’y avait pas de cicatrice. Cette guérison remonte à plus de trois ans.
Je suis reconnaissante de pouvoir vivre les enseignements de la Science Chrétienne, et pleine de gratitude pour la compréhension que j’ai nouvellement acquise du fait que « les accidents sont inconnus à Dieu, l’Entendement immortel, et [que] nous devons abandonner la base mortelle de la croyance et nous unir à l’unique Entendement, afin de remplacer la notion de hasard par le vrai sens de la direction infaillible de Dieu et faire ainsi paraître l’harmonie » (Science et Santé, p. 424).
Nilda Maria Alves
Rio de Janeiro, Brésil